dimanche 27 mars 2016

1165 - Farrah Fawcett, morue céleste

Farrah Fawcett, tu fus une belle femme aux yeux comme deux globules de lune. Ta face de femelle radieuse jusque dans tes semelles rieuses rayonnait. Ton front ensoleillé déversait des flots de blé tendre. Tes dents aussi éclatantes que des asticots mordaient les étoiles, faisaient sauter de joie les pommes, tranchaient les coeurs.

Ta bouche ressemblait à la bouche d’une  merluche et je voyais en toi le plus séduisant de tous les poissons ! Tu incarnais la reine de mes rêves d’océan et la paix des eaux douces. Tes sourires de miel avaient l’odeur de l’éther et la saveur du savon. Ta cosmétique non comestible était le régal des êtres incorporels, le vin des assoiffés de lumière, l’ivresse des buveurs d’azur.

Farrah Fawcett, même morte tu me donnes encore le goût de la mer et de ses vagues d’écailles, l’envie de la pluie et de ses caresses argentées, la faim de l’infini et de son pain translucide, le sens vertical et les délices des hauteurs.

Bref, Farrah Fawcett lorsque je pense à toi, je suis loin des asperges, aux antipodes des artichauts, à l’extrême opposé des navets. Et pourtant je suis aspergé de clarté, archi-chaud, plein de bave, crevant de la crème de ta beauté, comme un gastéropode gavé.

Je glisse le long de ta chevelure, coule sur ta joue, meurs à tes pieds.

Farrah Fawcett, tu reflétas, le temps de ta vie terrestre, chaque fleur du Cosmos et toutes les valeurs de mon jardin, autant de matins de l’Univers que de soleils perdus dans les souvenirs humains.

Demain, je me réveillerai en plein ciel.

jeudi 17 mars 2016

1164 - Tariq Ramadan vu par IZARRA

Cet article date d'un temps où mes vues politiques étaient faussées. Mes idées ont radicalement changé depuis, les événements survenus en France ayant salutairement changé ma mentalité... A l'époque j'étais de bonne foi dans ma naïveté. Aujourd'hui mon discours sur le sujet est à l'opposé de ce que vous allez lire. Je suis toujours de bonne foi en défendant aujourd'hui le contraire de ce que j'écrivais jadis. C'est ce qu'on appelle "évoluer". Le personnage de RAMADAN demeure digne d'intérêt néanmoins.

Tariq Ramadan, l’astre mahométan de nos sillons catholiques (moribonds) irrite ses plus féroces contradicteurs non pas tant parce qu’il défend sa cause, mais parce qu’il y met de l’éclat.

Il chante sur le ring quand ses adversaires aboient. Lui le coq sarrasin, eux les caniches gaulois. Et les cloches fêlées de notre Eglise sonnant le round dans un combat stérile qui s’éternise entre les levers du Soleil et les apparitions de la Lune...

J’aime mon pays et adhère à ses valeurs traditionnelles tout en détestant naturellement le gauchisme, et pourtant j’admire cet esprit brillant issu du Croissant : il incarne, dans sa version musulmane, nos lumières chrétiennes révolues, ternies par ce siècle de mollesse.

Ramadan est le produit sain, en somme, de notre putréfaction. Il est le fruit vert poussé sur nos pertes de racines chrétiennes. Le follet pur né de notre putride désagrégation, l’éther de nos terres plombées, l’essence de nos fumées.

Ses ennemis voient en lui un perfide intégriste religieux, un intellectuel oriental aux idées arriérées, voire un dangereux prédicateur islamiste... Moi je perçois en ce disciple de Mahomet une âme chevaleresque pleine de courage, de hauteur, d’humanité authentique. Toutes ces valeurs, ces qualités, ces beautés que nous avons perdues dans notre folie égalitaristo-féministo-gauchiste. Pour ne pas dire christianophobique et même de plus en plus franchement athéiste...

Notre néant laïque est confronté à cette réalité spirituelle d’un islam fervent. Seuls les matérialistes, les décadents, les enfants de la Révolution s’en étonnent. Et en tremblent. Ils ne se rendent pas compte qu’en voulant s’affranchir du sacré, celui-ci reviendra toujours, triomphant, sous une autre forme : ici l’Islam. Quand au nom de la neutralité républicaine on rejette les rayons de Râ, ce sont les lueurs du croissant qui apparaissent. Et lorsqu’on veut encore chasser ces clartés lunaires, plus haut ce sont les étoiles qui s’allument. Dieu est partout. Les matérialistes, qu’ils le veuillent ou non, baignent dans un océan divin.

Ramadan n’est que le juste retour de flamme, teintée d’orientalisme, de notre pensée de fer.

Bref, même si je demeure chrétien, je m’incline devant ce talentueux défenseur de la spiritualité coranique et le salue pour son courage, ses vertus, sa noblesse. Et la justesse de ses vues.

Monsieur Ramadan, voyez en moi un allié de prix dans votre résistance à la profane oppression des sans foi de France.

VOIR LES DEUX VIDEOS :

https://www.youtube.com/watch?v=nDC705Uu9ag&feature=youtu.be

https://www.youtube.com/watch?v=R3pHUsiEboM&feature=youtu.be

https://rutube.ru/video/d7fb00d2b84bcbd352a4f50bcaeda336/

http://www.dailymotion.com/video/x3ye4xz

vendredi 11 mars 2016

1163 - Ca y est, je suis mort !

Cette fois c’est la bonne. C‘est fini. Enfin je veux dire, ça commence.

Je suis mort. Mort et enterré. Libéré de la Terre et des maux dentaires.

Débarrassé de la politique, de la république et même de l’attraction de la planète.

En totale apesanteur, insensible aux odeurs. Depuis mes neiges éternelles, or et plomb se valent. Je ne suis plus obligé de porter des vêtements chers pour plaire aux passants de chair.

Je suis devenu pur esprit. Je suis mort et le monde entier s’en fiche. Il tourne sans moi, oublie mon nombril, orbite loin de mes yeux.

Mes restes gisent sous terre. Atomisés par le temps. Absorbés par les éléments. Comme ceux des dizaines, voire des centaines de milliards d’autres humains l’ont été avant moi et le seront après moi.

C’est banal de le dire, mais j’ai succombé à la vie, enfin je veux dire vers la fin.

Voilà, je suis mort. Bel et bien mort.

La preuve que je suis mort : je ne suis plus en vie.

Bref, je suis mort et n’en démords pas.

VOIR LA VIDEO :

https://www.youtube.com/watch?v=ucCFiO0ogew&feature=youtu.be

http://www.dailymotion.com/video/x3y4nt3

1162 - Le poème selon IZARRA

Tout au contraire de ce que bien des amateurs de la lyre pensent, le poème est à l’extrême opposé de ces clichés pleins d’artifices pesants, de mensonges rutilants et de fulgurances scolaires qu’ils présentent si fréquemment...

Afin de les contredire avec fruit et fracas, et surtout avec justesse, voici mon credo en ce qui concerne le poème.

Le poème c’est un torchecul providentiel pour... se torcher le cul providentiellement justement !

Le poème c’est un cri de canard dans la mare. Une crise de hoquet grotesque au coeur d’une cérémonie solennelle. Une glissade dans la boue en tenue du dimanche. Une pluie glaciale qui réveille les exaltés. Une fausse note qui remet à leur place les fats égarés nourris de théories. Une trompette en pleine nuit qui déculotte les rêveurs.

Le poème c’est le Soleil qui chie sa lumière sur la tronche de cette grosse conne de Lune se prenant pour la reine du zénith.

Le poème c’est l’anti-urgence par nature : nul n’a jamais été terrassé par un caillot de poésie dans les vaisseaux ! Au contraire le poème est le simple vernis de la vie qui certes fait briller la carrosserie des jours, mais guère plus : il ne faut pas exagérer les caresses du poème car le poème agit comme une imperceptible homéopathie, non comme un remède de cheval !

La vie vaut mille poèmes et personnellement je n’échangerais jamais ma précieuse existence contre une anthologie poétique même en dix volumes, même de chez la Pléiade, même enluminée d’or fin !

Les mots du poème ne sont que des farces destinées à éblouir les tomates, c’est à dire la tête des niais qui prennent le poème pour un astre irradiant alors qu’il n’est en réalité que le bouche-trous de leurs heures les plus creuses.

VOIR LES TROIS VIDEOS :

https://www.youtube.com/watch?v=4EcfXRRgOCA&feature=youtu.be

https://rutube.ru/video/20f3aba836028a2191b436d64184d49e/

http://www.dailymotion.com/video/x5fk0d4

http://www.dailymotion.com/video/x3x63zu

jeudi 3 mars 2016

1161 - La face cachée de mars

Mars a le visage pâle, les cheveux trempés et les pensés givrées d’une marchande de poissons au charme funèbre, au corps anguleux, à la voix rauque, aux traits de silex, aux doigts comme ceux d’un cadavre, au regard plein de nuages et d’azur.

Mars a une face troublante, incertaine, confuse, fluide et pénétrante. C’est un grand frisson qui glace les os, réchauffe les labours, nous égaie de ses rigoles. Comme un manteau mouillé. Entre joie et larmes. C’est une saison faite d’ombre et de rêve, de neige et de cendre, de pluie et de lumière.

C’est une drôle de fée heureuse et taciturne. Une sorcière morose au front argenté. Une sirène terne se mirant dans les flaques.

Le mois flou envoie ses flots d’ennui vers tous les horizons. Ses sentiments sont aussi froids que fluides, ses gifles aussi flasques que tranchantes, ses réflexions aussi fangeuses que célestes. Et ses murmures, toujours sérieusement aqueux.

Mars est une vaste limace visqueuse, une flamme molle, une femme dévastée qui pleure et qui rit, comme une vague farce du soleil jouant avec l’onde tout en chantant ses airs aériens.

mardi 1 mars 2016

1160 - J'attends ma Dame

J’attends ma Dame qui arrivera bientôt. Et quand je la verrai passer la porte, le Soleil s’inclinera.

Mon aimée que j’attends, tout comme moi, se voit au centre de l’Univers. Elle est égoïste, capricieuse, hautaine, éduquée. Elle est dure envers les chiens, méchante envers les enfants, méprisante envers les sans particules, mais très douce, très amoureuse à l’égard des grands fats de mon espèce qui morguent la gueusaille et giflent la valetaille.

Et c’est parce qu’elle me ressemble tant que je l’aime tant. Et c’est parce que je suis un astre de vanité fracassante qu’elle m’aime à ce point.

En échange de sa flamme qu’elle me crache à la face, je l’éblouis de ma lumière. Et lorsqu’elle m’offre ses larmes, je lui joue un air faux sur un violon de fumée. Quand deux hypocrites s’adorent, la musique grince, les pantins gesticulent et la pluie arrose leurs coeurs en fête.

Elle a la bouche sensuelle, la mine fraiche, la taille mince, le corps élancé, la chevelure ténébreuse, le regard féroce. Sa toilette est fort sophistiquée, extravagante, pleine de codes complexes, d’artifices coûteux. Ma Dame que j’attends est une beauté pompeuse.

L’heure du rendez-vous approche, je tremble de bonheur. Pour ses beaux yeux, j’ai remplacé mes laines rapiécées de jeune avaricieux par de la dentelle neuve, lustré mes lames rouillées, tué toutes les araignées de mes salons. Ma Dame pense à ma bourse comme je pense à son immense chapeau à plumes : avec désintérêt forcé, détachement factice, négligence affectée et même avec franc humour.

Elle sera là dans un instant. Sous mes lambris nous danserons sur des pas savants avec un air grave dans un bal triste et confidentiel, sans orchestre, où seuls ma Dame et moi serons présents.

Une chorégraphie monotone et douloureuse juste pour nous deux, sous les regards figés de mes ancêtres dans leurs cadres dorés que je n’ai pas songé à dépoussiérer.

Mais je l’entends souffleter ma bonniche dans la cour... Mon sang de seigneur-persifleur est en ébullition ! Ses souliers moqueurs claquent à l’entrée de ma maison. Elle approche... Je vais défaillir d’aise.

Elle vient. Elle paraît.

Et rayonne.

Je lui souris. Elle me regarde avec courtoisie. Je lui adresse la parole en ces termes :

- Je vous attendais, ma Dame. Vous voici donc arrivée.

Elle me répond tendrement :

- A présent que je suis là, vous ne m’attendez plus. Alors allons souper, avant de pleurer yeux dans les yeux sur l’heure de mon départ, demain, après le diner. Ainsi, vous pourrez vous amuser à m’attendre encore et encore dans les plus délicieux frissons d’un amour spécialement conçu pour vous plaire et vous déplaire tout à la fois, tourments contrariants mais enivrants que je partage avec vous dans la joie et l’honneur de ma virginité préservée pour votre contentement d’esthète nombriliste dénué de scrupule à mon endroit et de sentiments altruistes à l’égard des gens de peu. Je vous aime, Seigneur IZARRA.

Et je conclus son bavardage ampoulé sur ces mots secs :

Liste des textes

2148 - Je suis de la droite honteuse
2147 - Les écrivains sont des poids morts
2146 - L’héritage de Clinchamp
2145 - Clinchamp, une histoire sans fin
2144 - Vent de mystère à Clinchamp
2143 - Ma cachette à Clinchamp
2142 - Randonnée à Clinchamp
2141 - Eclipse de Lune à Clinchamp
2140 - Un arc-en-Ciel à Clinchamp
2139 - Clinchamp sous l’orage
2138 - J’ai rêvé de Clinchamp
2137 - Jour de l’An à Clinchamp
2136 - Vacances d’été à Clinchamp
2135 - Attente à Clinchamp
2134 - Un jour ordinaire à Clinchamp
2133 - Or de France
2132 - La compagne des esseulés
2131 - Loup de lumière
2130 - Spleen
2129 - Le pitre
2128 - Les corbeaux de Clinchamp
2127 - Un homme heureux à Clinchamp
2126 - Le mouton
2125 - Des lutins à Clinchamp ?
2124 - Je suis fort !
2123 - Paroles prophétiques
2122 - L’égalité entre les hommes est injuste !
2121 - L’idéaliste de gauche
2120 - La femme est la monture de l’homme
2119 - Clinchamp sous la neige
2118 - Le Nord et le Sud
2117 - Pourquoi j’aime Clinchamp ?
2116 - Convaincre Blandine
2115 - Un couple de vieillards à Clinchamp
2114 - Le facteur de Clinchamp
2113 - Tristesse et beauté à Clinchamp
2112 - L’Art
2111 - Botte à l’oeuf
2110 - Les bûcherons de Clinchamp
2109 - Le coucou de Clinchamp
2108 - BFMTV : l’écran de la vérité
2107 - Lettre anonyme
2106 - Je ne suis pas amoureux de Paris !
2105 - Un jour d’hiver à Warloy-Baillon
2104 - La femme soumise brille comme une casserole
2103 - Les chouettes de Clinchamp
2102 - Quand la tempête s’abat sur Clinchamp...
2101 - L’aile et la pierre
2100 - Mes amis les maudits
2099 - Le brouillard de Clinchamp
2098 - Artiste de gauche
2097 - L’éternité dans la tête
2096 - Toussaint à Clinchamp
2095 - Chagrin échappé
2094 - Clinchamp-sur-Mystère
2093 - Les cafards
2092 - Loup des airs
2091 - Le loup de Clinchamp
2090 - En latin, c’est plus beau !
2089 - Les patates de Clinchamp
2088 - L’enfant des airs
2087 - Ciel de France
2086 - Thaïs d’Escufon
2085 - Les tomates de Clinchamp
2084 - Jérôme Bourbon
2083 - Les chats de Clinchamp
2082 - Poupée d’ailleurs
2081 - Pierre de feu
2080 - Les champs de Clinchamp
2079 - L’éclosion
2078 - Vacuité des bouquinistes
2077 - Les toits
2076 - Freud
2075 - Sport
2074 - Le simplet de Clinchamp
2073 - Les oiseaux de Clinchamp
2072 - Je ne suis pas cartésien
2071 - Au cimetière de Clinchamp
2070 - Le Panthéon pour Hugo, l’évasion pour Izarra
2069 - Les rats de la France
2068 - Le curé de Clinchamp
2067 - Mon trou à Clinchamp
2066 - Saint-Léonard-des-Bois
2065 - Les cloches de Clinchamp
2064 - Un épouvantail à Clinchamp
2063 - Les rêves de Clinchamp
2062 - Je suis raciste
2061 - L’injustice sociale ne me choque pas
2060 - Les femmes de Clinchamp
2059 - Les jours vides de Clinchamp
2058 - Une grand-mère
2057 - Clinchamp vers 1970
2056 - La femme de soixante ans
2055 - Sale temps à Clinchamp
2054 - Un grand voyage en forêt
2053 - L’ailé et l’aliéné
2052 - Souvenirs lointains
2051 - Domestication d’une greluche
2050 - Déprime à Clinchamp
2049 - L’amour à Clinchamp
2048 - Les Droits de l'Homme, c'est la négation de l'homme !
2047 - Les hivers de Clinchamp
2046 - Les chemins de Clinchamp
2045 - Seul au monde
2044 - Ne me parlez pas d’amour
2043 - Tristesse de l’été
2042 - Jour de fête à Clinchamp
2041 - Monsieur Lecon
2040 - Châtelain
2039 - Les ailes de Clinchamp
2038 - Tremblement de terre
2037 - Nuit d’amour
2036 - Pluie de joie à Clinchamp
2035 - Les gauchistes
2034 - Clinchamp sous les clartés lunaires
2033 - Henri d’Anselme, héros hétéro rétro
2032 - Les hirondelles
2031 - Retraite dans la forêt
2030 - Mon bosquet
2029 - L’or de Clinchamp
2028 - Sur le chemin
2027 - La souche
2026 - Clinchamp, ce voyage sans fin
2025 - Sardines à l’huile
2024 - Les fantômes
2023 - Le silence de la forêt
2022 - Les arbres
2021 - Les joies de Clinchamp
2020 - La merde républicaine
2019 - Les ailés
2018 - Les soirées de Clinchamp
2017 - Parasite
2016 - Clinchamp, les routes de l’ennui
2015 - Moi français, je déteste les migrants !
2014 - Répugnante
2013 - Les complotistes
2012 - Je déteste les livres de philosophie !
2011 - Le bossu de Clinchamp
2010 - La lumière de Clinchamp
2009 - Les crépuscules de Clinchamp
2008 - Les nuits à Clinchamp
2007 - Les aubes de Clinchamp
2006 - Je suis un oiseau à Clinchamp
2005 - Les rats de Clinchamp
2004 - Les papillons de Clinchamp
2003 - Les richesses de la normalité
2002 - Le Rimbaud des bobos
2001 - Les vaches de Clinchamp
2000 - La folle de Clinchamp
1999 - Mon ego solaire
1998 - Vague Lune
1997 - Ma cabane à Clinchamp
1996 - Moi, IZARRA
1995 - Mais qui donc est Dardinel ?
1994 - La Dame Blanche de Clinchamp
1993 - Le Dalaï-Lama
1992 - Pluie à Clinchamp
1991 - Je suis sexiste
1990 - Les flammes du printemps
1989 - Le rustaud de Clinchamp
1988 - Les larmes d’Amsterdam
1987 - Clinchamp, terre d’envol
1986 - La Joconde de Clinchamp
1985 - Face cachée de Clinchamp
1984 - La clocharde de Clinchamp
1983 - Je suis un extraterrestre
1982 - Clinchamp sous les éclats de novembre
1981 - Clinchamp au bord des larmes
1980 - Les fantômes de Clinchamp
1979 - Les pissenlits de Clinchamp
1978 - Clinchamp : fin et commencement de tout
1977 - Amsterdam
1976 - J’habite sur la Lune
1975 - Secret de Lune
1974 - Les ailes de la Lune
1973 - Voir Clinchamp et sourire
1972 - La pierre et l’éther
1971 - Clinchamp, au bonheur des larmes
1970 - Clinchamp, mon dernier refuge
1969 - Croissant de Lune
1968 - Mais d’où vient donc la Lune ?
1967 - Lune lointaine
1966 - Lune éternelle
1965 - Sandrine, notre voisine
1964 - Rêve de Lune
1963 - Lune des rêves
1962 - La Lune dans le bleu
1961 - Lune ultime
1960 - Les tourmentés
1959 - Clinchamp, paradis des ombres
1958 - Lune absente
1957 - Je raffole des commérages !
1956 - Clinchamp : royaume des humbles
1955 - La Dame dans le ciel
1954 - Palmade : de la gloire au gouffre
1953 - Evasion
1952 - Tatouages, ces marques de faiblesse
1951 - L’égalité est un enfer !
1950 - Repas sur l’herbe à Clinchamp
1949 - Escale à Clinchamp
1948 - Beauté morbide de la Lune
1947 - J’ai dormi dehors à Clinchamp
1946 - Les humanitaires sont des parasites !
1945 - Sur les routes de Clinchamp
1944 - Une année à Clinchamp
1943 - Tristesse du printemps
1942 - Bulle de Terre
1941 - Jour de joie à Clinchamp
1940 - L’inconnu de Clinchamp
1939 - Le ciel de Clinchamp
1938 - Les éclats de Clinchamp
1937 - Le voyageur
1936 - Fête triste
1935 - Les antiracistes
1934 - Jean Messiha
1933 - Coeur gelé
1932 - Romantisme de pierre
1931 - La femme est sous mes pieds
1930 - Burcu Güneş, un air léger
1929 - Je déteste les pauvres !
1928 - Quand mon coeur s’allume
1927 - Intègre, entier, râpeux
1926 - Le cheval
1925 - Homme mauvais
1924 - Un trou sous le ciel
1923 - Hauteur de la Lune
1922 - Nulle part, là-bas, ailleurs
1921 - Belle Lune
1920 - Salades lunaires
1919 - Lettre à Reynouard
1918 - MARGUERITE OU L’HISTOIRE D’UNE VIEILLE FILLE
1917 - Récoltes lunaires
1916 - Je suis français de souche
1915 - Lune mortuaire
1914 - Clinchamp, cité des oubliés
1913 - Clinchamp, l’air de rien
1912 - Clinchamp, sommet du monde
1911 - La pollution, c’est la vie !
1910 - Seule au monde ?
1909 - Le Ciel et la Terre
1908 - Lune de haut vol
1907 - La Lune s’allume
1906 - Nuit sombre
1905 - Soupe de Lune
1904 - Puretés raciales
1903 - Lune-pizza
1902 - La grande question
1901 - Amiens
1900 - Pleur de Lune
1899 - Rêve d’amour
1898 - Vive le patriarcat !
1897 - La libellule
1896 - L’eau qui m’éclaire
1895 - Une question de clarté
1894 - La Lune dort
1893 - Les artifices du spirituel
1892 - Lune normale
1891 - Ni chauffage ni travail
1890 - Lune de fer
1889 - Molle Lune
1888 - Insensible aux malheurs des autres
1887 - Mon visage de vérité
1886 - Amante russe
1885 - J’écris
1884 - Lune martiale
1883 - Je suis un incapable
1882 - Lune creuse
1881 - 1975
1880 - L’éclat d’un fard
1879 - Amour impossible
1878 - Femme au foyer
1877 - L’esprit de la Lune
1876 - Ingérence féministe
1875 - Cratères lunaires
1874 - Lune d’effroi
1873 - Lune des chats
1872 - Les athées
1871 - Lune d’or
1870 - Lune carrée
1869 - Lune de miel
1868 - Folle lune
1867 - Jour de joie
1866 - SMARPHONES : abrutissement des masses
1865 - Sombre lune
1864 - Les mouches
1863 - Ma vie simple
1862 - Clinchamp, terre lointaine
1861 - Je suis un conservateur
1860 - Lune de glace
1859 - Le lac
1858 - Qu’est-ce que la beauté ?
1857 - Lune blanche
1856 - Lune de mer
1855 - Lune de feu
1854 - Présence immortelle
1853 - Surprenante Lune !
1852 - L’éclat de la Lune
1851 - Epis lunaires
1850 - L’autre Lune
1849 - L’amie des cheminées
1848 - Lune morte
1847 - Lune Parmentier
1846 - Lune fatale
1845 - Amour céleste
1844 - Grâces et disgrâces
1843 - Ma maison, c'est la Lune
1842 - Poids de la Lune
1841 - La morte visiteuse
1840 - Ma cabane sous la Lune
1839 - Bleu ciel
1838 - Histoire de lune
1837 - Suc de Turque
1836 - Stéphane Blet
1835 - Ciel bleu
1834 - Bonheur de rat
1833 - Redneck
1832 - Sur le rivage
1831 - Attraction lunaire
1830 - Je suis anti-féministe radical
1829 - Mais qui est-il ?
1828 - Je veux des frontières !
1827 - Les francs-maçons
1826 - Folies lunaires
1825 - Alunir, en un mot
1824 - “Comme ils disent”, chanson d’Aznavour
1823 - Lune tiède
1822 - Globe de rêve
1821 - Effroi
1820 - Vangelis
1819 - L’air de la Lune
1818 - La campagne
1817 - Lune tombale
1816 - Les cailloux
1815 - Je déteste Paris !
1814 - Boules de neige
1813 - Je n’ai pas peur
1812 - Parler vrai
1811 - Les hommes simples
1810 - Quand la Lune panse
1809 - Régine : extinction d’un feu
1808 - Morte veilleuse
1807 - Coeur de pierre
1806 - Noir
1805 - Mystère de la Lune
1804 - Jackson Pollock
1803 - En pleine lumière
1802 - Harmonie des sexes
1801 - Dix ans dans l’azur
1800 - Pluie d’avril
1799 - Le gueux
1798 - Les pommes de pin
1797 - Voyage vers la Lune
1796 - Mystère d’une nuit
1795 - Une lumière turque
1794 - Sans coeur et avec écorce
1793 - Envolé !
1792 - Galante ou l’abcès crevé
1791 - La lumière du Bosphore
1790 - Claude Monet
1789 - Rat aristocrate
1788 - Ukraine : sortez de vos ornières mentales !
1787 - Tranche de ciel et plumes de la Terre
1786 - Les sots écolos
1785 - L’astre turc
1784 - L’Ukraine, je m’en fous totalement !
1783 - Vive la guerre !
1782 - Réponses à un coatch
1781 - Droite pure
1780 - Vains hypersensibles
1779 - Mes valeurs vives
1778 - Le secret
1777 - Force et lumière
1776 - De l’herbe à l’aiguillon
1775 - Jusqu’à la mort
1774 - Zemmour et les journalistes de gauche
1773 - Dur et juste
1772 - La flamme et le marbre
1771 - Mon chat est mort
1770 - Les frères Bogdanoff
1769 - J’ai rêvé de Natacha
1768 - Technologie
1767 - Vers la Lune
1766 - C’était la guerre
1765 - La “tondue de Chartres”
1764 - Dans le métro
1763 - Naissance d’un virus
1762 - Zemmour est-il un de Gaulle ?
1761 - Je suis grand
1760 - Jour de gloire
1758 - Une muse du Bosphore
1758 - Je suis un extrémiste
1757 - Les éoliennes
1756 - Femme terminale
1755 - Autoportrait
1754 - Je suis un sanglier
1753 - Faux fou
1752 - Les affaires
1751 - Octobre
1750 - Le fantôme
1749 - Les écrivains
1748 - Sauvez la France !
1747 - Mes sentiments de pierre
1746 - Une araignée raconte
1745 - Un coeur clair
1744 - Phallocrate
1743 - Les vaches
1742 - Les faibles sont mauvais
1741 - Les sans-visage
1740 - Le trouillard de gauche
1739 - Léonard de Vinci enfant
1738 - Mes froideurs sublimes
1737 - Le romantisme, c’est la décadence
1736 - La Joconde
1735 - La tour Eiffel
1734 - Le Soleil
1733 - Une boule de mystère
1732 - Les masqués
1731 - Burcu Günes, l’or turc
1730 - Léa Désandre
1729 - Le père Dédé
1728 - “Blanc lumière” de Pollock
1727 - Les kikis et les cocos
1726 - Les funérailles de Belmondo
1725 - Pôle Sud
1724 - Vierge au mariage
1723 - La forêt
1722 - Le réveil des clochers
1721 - En septembre
1720 - Extraterrestre
1719 - Ni cagoule ni sérum
1718 - L’astre des morts
1717 - L’idéaliste
1716 - Un ange noir pour les Blancs ?
1715 - Trois heures du matin
1714 - Dur et vivant
1713 - Homme des bois
1712 - De flamme et de sang
1711 - Mes bas potentiels
1710 - Je suis un anti-progressiste
1709 - Eléonore et les Noirs
1708 - Eléonore et les Juifs
1707 - Une française
1706 - Femme d’idées
1705 - Joie de vivre
1704 - Auteur de rêves
1703 - Raison féminine
1702 - Vieillard
1701 - Face de France
1700 - 1789
1699 - Adieu, France
1698 - Célibataire
1697 - L’envers vert
1696 - Avant la chute
1695 - L’aube d’Ève
1694 - Amour raté
1693 - À vue d’homme
1692 - Le loup et l’agnelle
1691 - Têtes à corps
1690 - Trêve de la nuit
1689 - L’été
1688 - L’hiver
1687 - Les âmes de la forêt
1686 - Enfin libre !
1685 - Je vis sans masque
1684 - Enfants du monde
1328 - Je suis apolitique
115 - Le cygne
114 - Le spleen de Warloy-Baillon
113 - Les visiteurs
112 - La Lune
111 - L’amant des laides
110 - Mémoires d’un libertin
109 - Une existence de pompiste
108 - Lettre à mes amis des listes sur Internet