mardi 25 février 2014

1043 - Soupe de Farrah Fawcett

Mon assiette de nouilles jaunes me rappelle sa chevelure aux reflets de beurre et dans mon verre d’eau mêlée de sirop de menthe je retrouve son regard trouble.

Lorsque je bave du jaune d’oeuf sur mon col, ses yeux légèrement globuleux m’apparaissent, s’imposant en mon esprit comme deux cocos azurés.

Plus concrètement, l’image de Farrah Fawcett se cache aussi dans ma soupe aux navets et légumes jardiniers quand, aux heures aériennes de ma vie de gastronome avisé, le haricot vert bien cuit se mêle avec délices à la frêle tomate des derniers jours d’août.

Les trésors de mon potager sarthois me font songer à sa beauté germinale.

Tandis que la citrouille dorée me fixe avec placidité depuis le sol, je plaque sur sa face acide le sourire horticole de la vénusiaque conception.

Le visage séraphique qu’entouraient les mèches solaires de cette trépassée, je le perçois encore dans la suavité de mon gâteau melliflu.

Mais depuis que le ver rongea sa chair morte et que la terre nécrophage anéantit ses restes, elle renaît dix, cent fois en prenant d’autres apparences terrestre : à travers la fraîche chlorophylle et la vive fibre végétale qui verdissent les cimetières.

Car, comme tous les êtres dévorés par la tombe, sa présence sur Terre se dilue ou se concentre, se ramifie sous les aspects lyriques d’herbes folles et de fleurs sauvages.

Mais aussi, potentiellement, sous formes utiles de feuilles de laitues et de chair de patates dans les mets que je savoure lentement avec des rêveries étranges en tête, les soirs de longues dégustations pensives...

Et c’est là que mon humble potage du soir prend un sens singulièrement fawcettien.

A travers ce bouillon d’éléments recyclés par la bienfaisante nature, très indirectement mais très réellement j’avale de la lumière, m’alimente de symboles, me gave de beauté.

1042 - Société sans honneur

L’honneur a de moins en moins de sens dans cette société où au nom de la tolérance idolâtrée les valeurs s’inversent, les pensées s'avilissent, le vice devient vertu...

Les gens d'envergure qui ont de l’éclat et tiennent à le conserver sont persécutés, bafoués, vilipendés par un système galeux. C’est-à-dire non seulement par l’Etat mais aussi par une partie des français eux-mêmes contaminés par la peste de ce régime infecté.

La police est aux ordres de l’officielle corruption, la justice tombée dans la fosse de l’iniquité, le pouvoir au service non pas des citoyens équilibrés mais d’idéologies perverses qui dénaturent l’humain. Et les médias complices -par intérêt purement crapuleux ou doctrinal- entretiennent consciencieusement ces miasmes politico-sociaux.

Comment dans ces conditions défendre les idées de gloire, de probité morale, de décence ?

Laissons tomber l’honorabilité.

A quoi bon faire preuve de hauteur, s’évertuer à nager à contre-courant d’une civilisation vouée à la ruine, s’ingénier à demeurer debout, digne, propre, intègre, quand tout autour de soi se vautre religieusement dans la fange ? 

Au contraire entrons dans la déchéance banalisée sans aucune culpabilité, profitons de la bassesse républicaine pour mieux jouir des noirceurs de la décadence qu’elle nous offre en guise de lauriers car, de surcroit, nous serons applaudis, considérés, valorisés pour avoir contribué à répandre un peu plus de merde dans cette France vouant un culte suprême à la décrépitude de ses enfants.

Jetons la noblesse dans les tas de purin de nos porcheries.

La pureté est une notion ringarde pour les pauvres arriérés qui croient encore à la grandeur de l’homme. L’honorabilité à l’ancienne, cela ne vaut plus rien dans ce monde où le bien est devenu le mal, où le péché s’est transformé en bénédiction. Ce que nos aïeux, et pas si loin, nos parents, appelaient sacrilèges, blasphèmes, profanations, ce sont aujourd’hui des “droits pour tous”. Autrement dit des biens de consommation élémentaires.

Envoyons le mérite jusqu’au fond des trous de nos chiottes.

Si vous promouvez l’honnêteté, le bon sens commun, le respect de vous-même et d’autrui, la bienséance, bref si vous suivez les mouvements de votre coeur imprégné de principes sains et sensés, la voie droite de votre conscience éclairée par la charité universelle, les élans de votre âme animée par le souci du bien commun, alors vous serez harcelés, ostracisés, persécutés, voués à l’opprobre générale et finalement condamnés.

La dignité ne servant plus à rien, laissons-la pourrir dans nos esprits et déposons ce fumier nouveau au pied de la république afin de mieux faire fleurir la déviance, cette flétrissure des moeurs qui désormais sert d'étendard (LGBT) aux progressistes et de référence à notre jeunesse.

VOIR LA VIDEO :

https://youtu.be/s5gj1qSj5aw

lundi 24 février 2014

1041 - Louna

De la Lune elle a hérité le premier son. Et cet écho est un chant dédié au mystère. Une syllabe qui en dit long sur son AILE essentielle...

Louna c’est une musique entre Lune et loup. Quand elle miaule, Louna, un souffle doux plane dans l’air qui chasse les nuages de la vie. 

Louna la Lune, Louna la belle, Louna la noctambule, c’est l’éther sur Terre.

Elle est comme la caresse de Sélénée : un rayon qui nous pénètre, un rêve qui nous effleure, une onde qui nous touche.

Louna est un astre timide qui dort sur un oreiller en guise d’Empyrée et fait des songes tout de plumes et d’étoiles. Elle s’efface le jour, sort dans le silence nocturne, somnole aux heures incertaines, et cependant nous nous interrogeons encore sur le reste de son temps passé à ne rien faire. C’est une chandelle énigmatique qui allume en nous des pensées sans formes, des flammes sans fond, des clartés nouvelles.

Avec son pelage profond, elle se confond dans la ténèbre, s'y cache et en joue. Mais son oeil qui luit trahit en elle la divine étincelle. Jamais ce diamant ne pâlit. La féline intelligence élève son regard et la royale attitude révèle son origine. 

Louna la discrète est un éclair de subtilité sous notre toit. C’est une veille au coeur de la nuit. Un ange à moustaches qui embellit la demeure et garde la paix du foyer.

lundi 17 février 2014

1040 - Lettre à mon voisin du dessous

Mon voisin du dessous,

Depuis que Coralie est partie, à qui d’autre veux-tu que j’écrive ?

Certes elle est toujours au Mans -elle s’est exilée dans le quartier du Miroir- (je n’ai pas son adresse exacte), mais je ne la vois plus et elle n’a jamais répondu à mes lettres d’amour. Il ne me restait guère de choix.

Après son départ j’ai un peu perdu le goût de l’espionnage mais pas celui du rêve. Coralie était à deux pas de mon coeur mais toi Pierre tu es juste sous mes pieds. Jour et nuit.

Notre muette, ténue aire de contact se situe exactement au niveau de la jonction de ton ciel et de mon sol. C’est une relation mince, minimaliste mais essentielle, structurelle, constituée par la rencontre de mon plancher et de ton plafond. Nos édifices s’imbriquent et se soutiennent mutuellement.

Mais ce n’est pas seulement une affaire de surfaces et de murs, de pierres et de toit.

Il s’agit d’autre chose et tu le sais.

J’ai une amante.

Tu la connais et ma compagne Isabelle n’ignore pas non plus qui est sa rivale. C’est pour cette égérie que j’ai provoqué Coralie et c’est encore en son nom que tu lis ceci. C’est d’elle dont je veux te parler. De l’élue de mon âme. Et cela te concerne intimement.

Ce n’est pas une femme, c’est une flamme. Pas un visage mais une vague. Ce n’est pas une silhouette, un corps ou une chair mais un follet. Ce n’est pas une allumeuse non, mon amante, en un mot, c’est la Lune.

La Poésie je veux dire.

Je ne comprends pas tous tes textes. Je les lis, je les survole, je les regarde de loin, ils me font peur.

J’espère seulement que tu ne la trompes pas Pierre. Par ignorance, maladresse, manque de lucidité, par coupable myopie. Même ta jeunesse, sage ou folle, serait la dernière raison de lui être déloyale. Mais non, je sais que tu es digne de la Plume...

La nuit lorsque je veille, emporté par mes pensées radieuses, bercé par mes fantasmes idéaux, je l’imagine, elle, à tes côtés... Et je suis en paix, heureux de te savoir, peut-être, en concert avec la joueuse de luth. Et tu es sous mes pieds, à trois heures du matin, comme un foyer au coeur des ténèbres.

Et quand elle est là, quand elle descend sur toi Pierre, quand elle vient te hanter dans le silence nocturne, je l’espère, je le sens, je le sais, alors c’est pour moi un peu le salut du monde.

C’est pour ces seuls moments d’intimité avec elle, la Poésie, que vaut toute l’existence. La mienne, certainement. Et la tienne aussi, à toi de savoir.

Entouré de béotiens, sots manceaux du premier jour, animaux stupides en quête de ginguette juste en face de l’Escalier, monstres de citrons placides, insipides concierges du temps indolent qui passe, je prends la mesure du jour à grands coups d’enclumes.

Mais aux heures bénies de mes longues veilles, tandis que l’astre blond me tient en haleine, je m’interroge avec délices sur tes ivresses secrètes avec la muse, là juste sous mes pieds.

Quand je te croise, bien sûr, je perçois la malice dans ton regard, l’éclair de ces nuits attendues. Et dans mon oeil ce que tu vois Pierre, ce que tu me prends, ce que je t’envoie, ce que j’offre au monde, ce que Dieu m’a donné -et c’est pour cela que je passe pour un dément, même à tes yeux-, ce n’est rien d’autre que le feu de la lyre.

mercredi 12 février 2014

1039 - Une mendiante

Dimanche dernier à un endroit stratégique du marché des Jacobins au Mans j’aperçus une tendeuse de sébile, une marchande de bonbons à la sauvette plus exactement (mendicité dissimulée), qu’il me semblait vaguement reconnaître, que j’avais déjà dû croiser une ou deux fois.

Je rentrais chez moi avec mon sac rempli de bonnes choses et je n’avais pas du tout envie de faire l’aumône à cette importune ni de me sentir culpabilisé par ses regards cherchant mon apitoiement.

Donc je passai devant elle en faisant mine de l’ignorer. Pour mon malheur voilà qu’elle m’aborda avec grande familiarité. Et, me prenant par le bras, commença à m’expliquer qu’elle avait besoin, évidemment, d’argent pour manger, qu’elle travaillait dans un cirque mais que les temps étaient durs et je ne sais plus quoi d’autre exactement, etc., etc. 

Elle semblait ivre, me parlait tout près du visage, était visiblement mal éduquée, ne savait pas s’exprimer dans un français correct et en dépit de ses mots faussement polis, comme récités, en réalité il suintait de sa voix, de sa gestuelle, de sa figure, un total irrespect d’autrui.

D’un regard hautain et d’un air agacé -mais cependant courtois- et de quelques mots implacables j’essayai hâtivement de lui faire comprendre que je n’étais pas dupe de son discours maladroit de bonimenteuse intellectuellement faible, culturellement primaire, que ses sucreries douteuses ne m’intéressaient nullement et qu’il existait des services sociaux pour les indigentes de son espèce.

Et là, je me mis à l’examiner. Un bref instant. Et je vis à qui j’avais affaire.

Un sous-humain. 

Une pauvre ombre sans nul attrait, une silhouette insignifiante, une chose désagréable par tous ses aspects : vestimentaires, physionomiques, psychologiques, esthétiques, moraux.

Tout dans sa personne transpirait le vice, le déshonneur, la bassesse. 

La totalité de son être était repoussant. A travers sa manière d’être, de se montrer, de mendier, elle éloignait naturellement d’elle tout être humain honnête. Elle puait la corruption.

Par sa façon de chercher à convaincre les passants, elle les faisait fuir. Et ne paraissait aucunement en avoir conscience. Par sottise, par ignorance, par crasse intérieure réelle ou supposée... Comment savoir ?

Ce que je percevais en la voyant était-il juste ou pas ? Avais-je tort de la considérer avec autant de mépris ? Devais-je me fier à ses haïssables apparences ? Peut-être me trompais-je... Je n’en sais rien. Mais c’est ainsi que je ressentais cette femme.

A mes yeux cette gueuse était vile, spirituellement sale, humainement détestable, socialement crapuleuse, moralement misérable, du moins par ses dehors, par ce qu’il émanait de ses traits, de son corps, de sa toilette de bohémienne, de son allure générale.

Cette affreuse gitane ne voulait que de l’argent, rien d’autre. De l’argent pour satisfaire je ne sais quel immonde désir de canaille. De l’argent pour j’ignore quel minable dessein à portée de son bec de pie voleuse, menteuse et médisante !

Bref, après l’avoir brièvement scrutée de mon oeil chirurgical, je m’en allai, heureux de la voir abandonner la partie plus tôt que je ne l’aurais cru, ce qui me conforta dans l’idée que cette désastreuse marchande de mauvaises friandises était bien une vipère en quête de proie facile et non une véritable pauvresse à secourir.

En repensant à cette pitoyable rencontre je me demande encore si, finalement, cette main tendue méritait ma charité ou bien mes crachats. 

Comment savoir ? La quêteuse était si laide, si abjecte, si bête... On devinait dans cette âme tant de pensées honteuses et maudites, instinctivement on lui prêtait tant d’actes infâmes... Me suis-je trompé ? Ai-je mal agi ? Eus-je effectivement affaire au diable ? A un oiseau blessé ? A une charogne, à une malfaisante manouche, à une maléfique petite vieille ou à une piteuse et innocente victime de l’égoïsme et de l’indifférence ? Avais-je raison ? Avais-je tort ?

Dieu seul le sait. 

Mais pour moi, sur le moment, elle était si déplaisante, tellement répugnante, si ignoble... 

Et en me remémorant ce visage implorant, cette main posée sur mon bras, ces prières pleines de maladresse, j’ai toujours la même envie d’envoyer sur le front de cette mendiante le plus arrogant de mes crachats.

VOIR LA VIDEO :

https://rutube.ru/video/efee65e86eda2c7cffe8357876917e4d/

samedi 8 février 2014

1038 - J'ai foi en l'intolérance

La sainte, libératrice, saine intolérance ensoleillera le monde de ses éclats purificateurs. Je crois au triomphe de cette vertu certes actuellement impopulaire mais essentielle.

Cet astre tardif se lèvera enfin sur l’Humanité pour l’illuminer définitivement, j’en suis persuadé.

Au nom de la tolérance les hommes se sont trop souvent égarés dans les crimes de l’avortement, l’ignominie du mariage homosexuel, les ténèbres de la destruction de la famille, la dégradation des moeurs nourries de pornographie, les délires contre-nature du féminisme...

Le terme INTOLÉRANCE, comme beaucoup d’autres vocables, est devenu outrageant pour les consciences dénaturées. Considéré comme le pire sacrilège laïque, il a hérité d’une forte connotation négative alors qu’en réalité l’intolérance est le meilleur garde-fou contre les folies humaines. Il n’existe plus de contre-pouvoir aux hérésies de la société qui s’emballe vers les plus perverses licences, s’embrase pour des passions avilissantes, se noie dans des océans de merde.

Ce monde en chute libre à besoin de freins, de barrières, de résistance, c’est à dire d’intolérance.

Ne plus accepter les excès mortifères des adeptes de l’immoralité érigée en droit suprême, déclarer hors-la-loi les abus de libertés qui profitent aux esprits corrompus, couper les ailes aux oiseaux des bas-fonds, voilà la vraie libération.

Il est urgent de réhabilter l’intolérance : chasser du temple les marchands de mort, faire taire les diffuseurs de mensonges, mettre aux fers la langue de bois de ces despotiques limaces bavant des balivernes idéologiques sur lesquelles glissent les intemporelles vérités sans les jamais toucher.

Au nom de la tolérance les assassins ne tolèrent pas les bébés à naître, au nom de la tolérance les vicieux ne tolèrent pas l’honnêteté, au nom de la tolérance les détraqués sexuels ne tolèrent pas la pureté, au nom de la tolérance les lobbys homosexuels ne tolèrent pas la norme hétérosexuelle, au nom de la tolérance les dégénérés ne tolèrent pas la structure familiale, au nom de la tolérance les suffragettes hystériques ne tolèrent pas que l’homme ait des couilles.

Dans ces conditions, seule l’intolérance délivrera de force tous ces égoïstes, ces décadents, ces permissifs de leurs chaînes libertaires.

VOIR LES DEUX VIDEOS :

https://rutube.ru/video/457dbd6705fc16bfc94ecb253f689986/

https://rutube.ru/video/edadd8a4a52705ab7c2b0ec63a63ec19/

mardi 4 février 2014

1037 - Je suis anti féministe

Je hais le féminisme et tous les mouvements de défense de la femme qui y ressemblent.

Comme si les droits de la femme étaient en danger... 

En réalité dans le contexte marital les droits naturels de la femme consistent en sa glorieuse soumission à l’homme, en sa décente docilité au service de la cause masculine. Eve doit faire honneur à Adam au lieu de le combattre comme un ennemi. Génétiquement conçue pour le bien-être de son seigneur et maître, la femme intègre est heureuse de se ranger sous la virile autorité, elle s’épanouit idéalement sous le soleil du mâle comme une fleur sous les rayons de Râ. 

Malheureusement notre société l’a corrompue.

Le féminisme a rendu les hommes impuissants, sots et faibles.

Seuls les hommes dénaturés, les lâches, les poltrons, les châtrés, les mauviettes adhèrent à cette hérésie qu’est le féminisme. Sous couvert de progrès, de tolérance, d’égalité, ces pleurnichards se sont mis à ramper sous le regard approbateur des suffragettes. Les porteurs de couilles ont abdiqué face aux porteuses de jupettes. 

Mars a perdu sa dignité. Vénus a gagné un faux combat. Les rôles se sont inversés, l’ordre cosmique a été bafoué.

Le culte de l’égalité poussé à son paroxysme a rendu l’homme et la femme insipides, incolores, édulcorés, lisses. Tous deux ont été nivelés, appauvris, indifférenciés. 

Bref, le lion est devenu un caniche qui fait le beau devant la volaille revendicatrice. 

Pauvre eunuque épilé qui traite sa femme comme une vulgaire égale alors que ses ancêtres la traitaient comme une reine ! Misérable jappeur qui croit respecter son “égale” en la plaçant à hauteur de ses ambitions de chiot castré ! Lamentable dégénéré persuadé de rendre hommage à son épouse en lui tendant la lame avec laquelle elle va tondre sa crinière !

Le féminisme est une pensée décadente qui offense les lois génésiques fondamentales ainsi que les moeurs amoureuses les plus ancestrales car en vérité sous les codes terrestres et la volonté divine la femme est comblée d’être femme et l’homme est reconnaissant au Ciel d’être homme.

VOIR LA VIDEO :

lundi 3 février 2014

1036 - IZARRA en profondeur

Je réponds à quelques questions posées par une journaliste faisant visiblement une fixation sur mes orientations fawcetiennes...

1 - Raphaël Zacharie de IZARRA, on peut tous constater que votre plume tourne assez souvent autour de feue Farrah Fawcett, une espèce de demi-mondaine hollywoodienne insignifiante quant au talent mais dont l’éclat révolu semble vous fasciner au-delà du raisonnable. Avez-vous pensé a écrire un texte uniquement en vous inspirant de la beauté de Farrah Fawcett sans y mentionner son nom, (une lettre poétique adressée aux étoiles, par exemple) ?

La beauté de Farrah Fawcett est issue de la même source universelle qui humecte le Cosmos, arrose les esprits, inonde les âmes. Quand je parle de limaces baveuses, de vieilles oranges juteuses ou de clochards qui postillonnent, je parle de la même chose. Les crachats du mollusque glissant sur l’excrément ou sur la feuille de salade, le fruit pourri qui pisse sa lumière fermentée ou le mendiant qui éclabousse ses interlocuteurs sont des formes, communes ou extrêmes, de la Beauté. Jusqu’à l’humour qui lui aussi est un aspect de l’éclat divin. Parler du magnétisme de Farrah Fawcett, de l’intérieur gluant des vers de terre ou des océans bleus des mers du Sud, c’est évoquer le miracle suprême que constitue la vie, sous tels ou tels angles, lesquels sont tous glorieux.

2 - Lorsque vous avez été ébloui par la beauté fawcetienne, n’avez-vous jamais pris cet éclair intime comme le point de départ d'un cheminement aboutissant à quelque sommet suprême ? Idée ou personne ?

Assurément. Mais ceci à  l’insu de ma raison, de manière obscure, subtile et onirique. Je fus la graine enfouie percevant la lumière solaire. Tout était en moi, en germe. Et tout allait fleurir sous la caresse nourricière de l’astre. Je naissais et j’avais l’infini à découvrir. La beauté est le point de départ d’un cheminement sans borne.

3 - Etant donné que vous avez exprimé ce culte izarrien pour l’astre texan juste après son extinction, on pourrait croire qu’en esthète véritable vous respectez la Beauté au point de la tenir a distance, voire de la rétablir sur son trône originel : dans le Ciel. Vous parlez dans vos écrits d'un "hymen dans le formol" qui correspondrait a votre idée de l'Amour. Pourriez-vous nous éclairer  sur cette affaire, maitre ?

Morte, la plante devient un marbre. Cela dit cette femme avait des aspects forts béotiens, il faut le reconnaître, une fois sa gloire passée. Cette fleur qui fut magnifique durant sa jeunesse, hérita en vieillissant des détestables stigmates de la plèbe. Vénus est descendue sur Terre, malheureusement ce fut en Amérique du Nord, d’où sa corruption accélérée. Qu’importe ! De ce chardon précoce je ne retiens que la rose. Mon appréhension du beau, à ce niveau d’élévation, devient quasi mystique Les étoiles sont intouchables, en effet. Hors de portée du jugement humain. Farrah Fawcett porta en elle un olympien éclat. Même s’il fut éphémère, il a marqué l’éternité de son indélébile empreinte. Je ne peux approcher de cette statue de chair qu’avec un front clair, un regard pur, des mains dévotieuses. Quant à cette histoire de formol, c’est une autre manière de voir la chose, sur le mode humoristique...

4 - Comment voulez-vous que vos lecteurs perçoivent cette étrange attirance vôtre pour Farrah Fawcett ? Comme un mystère ou comme le témoignage inattendu de votre caractère de poète ?

Il n’y a rien d‘étrange dans ce phénomène esthétique extrême, au contraire. Rien de plus naturel que ce choc cosmique né de la rencontre entre le Soleil et la Lune. Ici les grands principes de la Création s’ordonnent. Ce qui aurait été étrange, c’est que les grandes causes se repoussent au lieu de danser ensemble... Quand la lyre croise le papillon, que voulez-vous qu’il naisse d’autre qu’un chant dédié à l’absolu ?

Que comprenez-vous, cher Maitre de la plume par phénomène esthétique extrême” ? Une réalité totale ? Supérieure ? Outrancière ? Dangereuse ?

Je veux parler de l’alchimie des grandes choses : la beauté fawcetienne rencontrant l’esprit izarrien.

5 - Cette série d'interviews représente-t-elle pour vous un privilège de sonder l’arcane fawcettienne, ou permet-elle plutôt de faire naitre d'autres questions ?

C’est vous qui me posez ces questions, j’accepte d’y répondre car j’ai une cause à vendre. Et cette cause, c’est l’éclat du Ciel.

6 - Avez-vous des échos de la part de votre lectorat ? Comment perçoivent ceux qui vous admirent ou vous détestent cette obsession pour la belle blonde ?

Oui je reçois des manifestations d’incompréhension. Mes laudateurs estiment inadéquats ces feux izarriens à l’endroit de celle qu’ils prennent pour une moindre chose esthétique, mes détracteurs raillent avec férocité ce qu’ils décrètent comme une forme aiguë de déchéance izarrienne. A ces incrédules je réponds que la Lune est aussi durable que son étoile qui l’éclaire. Les mouvements célestes s’opèrent hors de portée humaine. Dans le silence des hauteurs zénithales, les ballets sidéraux ne s’offrent qu’aux regards perçants.

7 - Comment voulez-vous tirer votre lectorat vers les hauteurs a travers ce mythe fawcettien ?

A travers ce trésor divin qu’est la Beauté, je souhaite tout simplement témoigner que l’essentiel est au-dessus de nos têtes et ainsi donner l’exemple de l’ascension intérieure. Je veux contribuer à l’éveil des consciences, à l’élévation des âmes. Donner aux matérialistes l’envie de l’azur spirituel, communiquer aux bipèdes rampants le goût des sommets, autrement dit donner des ailes à tous les zèbres de la Terre.

VOIR LA VIDEO :

http://www.dailymotion.com/video/x205ryk_izarra-en-profondeur-raphael-zacharie-de-izarra_webcam

Liste des textes

2148 - Je suis de la droite honteuse
2147 - Les écrivains sont des poids morts
2146 - L’héritage de Clinchamp
2145 - Clinchamp, une histoire sans fin
2144 - Vent de mystère à Clinchamp
2143 - Ma cachette à Clinchamp
2142 - Randonnée à Clinchamp
2141 - Eclipse de Lune à Clinchamp
2140 - Un arc-en-Ciel à Clinchamp
2139 - Clinchamp sous l’orage
2138 - J’ai rêvé de Clinchamp
2137 - Jour de l’An à Clinchamp
2136 - Vacances d’été à Clinchamp
2135 - Attente à Clinchamp
2134 - Un jour ordinaire à Clinchamp
2133 - Or de France
2132 - La compagne des esseulés
2131 - Loup de lumière
2130 - Spleen
2129 - Le pitre
2128 - Les corbeaux de Clinchamp
2127 - Un homme heureux à Clinchamp
2126 - Le mouton
2125 - Des lutins à Clinchamp ?
2124 - Je suis fort !
2123 - Paroles prophétiques
2122 - L’égalité entre les hommes est injuste !
2121 - L’idéaliste de gauche
2120 - La femme est la monture de l’homme
2119 - Clinchamp sous la neige
2118 - Le Nord et le Sud
2117 - Pourquoi j’aime Clinchamp ?
2116 - Convaincre Blandine
2115 - Un couple de vieillards à Clinchamp
2114 - Le facteur de Clinchamp
2113 - Tristesse et beauté à Clinchamp
2112 - L’Art
2111 - Botte à l’oeuf
2110 - Les bûcherons de Clinchamp
2109 - Le coucou de Clinchamp
2108 - BFMTV : l’écran de la vérité
2107 - Lettre anonyme
2106 - Je ne suis pas amoureux de Paris !
2105 - Un jour d’hiver à Warloy-Baillon
2104 - La femme soumise brille comme une casserole
2103 - Les chouettes de Clinchamp
2102 - Quand la tempête s’abat sur Clinchamp...
2101 - L’aile et la pierre
2100 - Mes amis les maudits
2099 - Le brouillard de Clinchamp
2098 - Artiste de gauche
2097 - L’éternité dans la tête
2096 - Toussaint à Clinchamp
2095 - Chagrin échappé
2094 - Clinchamp-sur-Mystère
2093 - Les cafards
2092 - Loup des airs
2091 - Le loup de Clinchamp
2090 - En latin, c’est plus beau !
2089 - Les patates de Clinchamp
2088 - L’enfant des airs
2087 - Ciel de France
2086 - Thaïs d’Escufon
2085 - Les tomates de Clinchamp
2084 - Jérôme Bourbon
2083 - Les chats de Clinchamp
2082 - Poupée d’ailleurs
2081 - Pierre de feu
2080 - Les champs de Clinchamp
2079 - L’éclosion
2078 - Vacuité des bouquinistes
2077 - Les toits
2076 - Freud
2075 - Sport
2074 - Le simplet de Clinchamp
2073 - Les oiseaux de Clinchamp
2072 - Je ne suis pas cartésien
2071 - Au cimetière de Clinchamp
2070 - Le Panthéon pour Hugo, l’évasion pour Izarra
2069 - Les rats de la France
2068 - Le curé de Clinchamp
2067 - Mon trou à Clinchamp
2066 - Saint-Léonard-des-Bois
2065 - Les cloches de Clinchamp
2064 - Un épouvantail à Clinchamp
2063 - Les rêves de Clinchamp
2062 - Je suis raciste
2061 - L’injustice sociale ne me choque pas
2060 - Les femmes de Clinchamp
2059 - Les jours vides de Clinchamp
2058 - Une grand-mère
2057 - Clinchamp vers 1970
2056 - La femme de soixante ans
2055 - Sale temps à Clinchamp
2054 - Un grand voyage en forêt
2053 - L’ailé et l’aliéné
2052 - Souvenirs lointains
2051 - Domestication d’une greluche
2050 - Déprime à Clinchamp
2049 - L’amour à Clinchamp
2048 - Les Droits de l'Homme, c'est la négation de l'homme !
2047 - Les hivers de Clinchamp
2046 - Les chemins de Clinchamp
2045 - Seul au monde
2044 - Ne me parlez pas d’amour
2043 - Tristesse de l’été
2042 - Jour de fête à Clinchamp
2041 - Monsieur Lecon
2040 - Châtelain
2039 - Les ailes de Clinchamp
2038 - Tremblement de terre
2037 - Nuit d’amour
2036 - Pluie de joie à Clinchamp
2035 - Les gauchistes
2034 - Clinchamp sous les clartés lunaires
2033 - Henri d’Anselme, héros hétéro rétro
2032 - Les hirondelles
2031 - Retraite dans la forêt
2030 - Mon bosquet
2029 - L’or de Clinchamp
2028 - Sur le chemin
2027 - La souche
2026 - Clinchamp, ce voyage sans fin
2025 - Sardines à l’huile
2024 - Les fantômes
2023 - Le silence de la forêt
2022 - Les arbres
2021 - Les joies de Clinchamp
2020 - La merde républicaine
2019 - Les ailés
2018 - Les soirées de Clinchamp
2017 - Parasite
2016 - Clinchamp, les routes de l’ennui
2015 - Moi français, je déteste les migrants !
2014 - Répugnante
2013 - Les complotistes
2012 - Je déteste les livres de philosophie !
2011 - Le bossu de Clinchamp
2010 - La lumière de Clinchamp
2009 - Les crépuscules de Clinchamp
2008 - Les nuits à Clinchamp
2007 - Les aubes de Clinchamp
2006 - Je suis un oiseau à Clinchamp
2005 - Les rats de Clinchamp
2004 - Les papillons de Clinchamp
2003 - Les richesses de la normalité
2002 - Le Rimbaud des bobos
2001 - Les vaches de Clinchamp
2000 - La folle de Clinchamp
1999 - Mon ego solaire
1998 - Vague Lune
1997 - Ma cabane à Clinchamp
1996 - Moi, IZARRA
1995 - Mais qui donc est Dardinel ?
1994 - La Dame Blanche de Clinchamp
1993 - Le Dalaï-Lama
1992 - Pluie à Clinchamp
1991 - Je suis sexiste
1990 - Les flammes du printemps
1989 - Le rustaud de Clinchamp
1988 - Les larmes d’Amsterdam
1987 - Clinchamp, terre d’envol
1986 - La Joconde de Clinchamp
1985 - Face cachée de Clinchamp
1984 - La clocharde de Clinchamp
1983 - Je suis un extraterrestre
1982 - Clinchamp sous les éclats de novembre
1981 - Clinchamp au bord des larmes
1980 - Les fantômes de Clinchamp
1979 - Les pissenlits de Clinchamp
1978 - Clinchamp : fin et commencement de tout
1977 - Amsterdam
1976 - J’habite sur la Lune
1975 - Secret de Lune
1974 - Les ailes de la Lune
1973 - Voir Clinchamp et sourire
1972 - La pierre et l’éther
1971 - Clinchamp, au bonheur des larmes
1970 - Clinchamp, mon dernier refuge
1969 - Croissant de Lune
1968 - Mais d’où vient donc la Lune ?
1967 - Lune lointaine
1966 - Lune éternelle
1965 - Sandrine, notre voisine
1964 - Rêve de Lune
1963 - Lune des rêves
1962 - La Lune dans le bleu
1961 - Lune ultime
1960 - Les tourmentés
1959 - Clinchamp, paradis des ombres
1958 - Lune absente
1957 - Je raffole des commérages !
1956 - Clinchamp : royaume des humbles
1955 - La Dame dans le ciel
1954 - Palmade : de la gloire au gouffre
1953 - Evasion
1952 - Tatouages, ces marques de faiblesse
1951 - L’égalité est un enfer !
1950 - Repas sur l’herbe à Clinchamp
1949 - Escale à Clinchamp
1948 - Beauté morbide de la Lune
1947 - J’ai dormi dehors à Clinchamp
1946 - Les humanitaires sont des parasites !
1945 - Sur les routes de Clinchamp
1944 - Une année à Clinchamp
1943 - Tristesse du printemps
1942 - Bulle de Terre
1941 - Jour de joie à Clinchamp
1940 - L’inconnu de Clinchamp
1939 - Le ciel de Clinchamp
1938 - Les éclats de Clinchamp
1937 - Le voyageur
1936 - Fête triste
1935 - Les antiracistes
1934 - Jean Messiha
1933 - Coeur gelé
1932 - Romantisme de pierre
1931 - La femme est sous mes pieds
1930 - Burcu Güneş, un air léger
1929 - Je déteste les pauvres !
1928 - Quand mon coeur s’allume
1927 - Intègre, entier, râpeux
1926 - Le cheval
1925 - Homme mauvais
1924 - Un trou sous le ciel
1923 - Hauteur de la Lune
1922 - Nulle part, là-bas, ailleurs
1921 - Belle Lune
1920 - Salades lunaires
1919 - Lettre à Reynouard
1918 - MARGUERITE OU L’HISTOIRE D’UNE VIEILLE FILLE
1917 - Récoltes lunaires
1916 - Je suis français de souche
1915 - Lune mortuaire
1914 - Clinchamp, cité des oubliés
1913 - Clinchamp, l’air de rien
1912 - Clinchamp, sommet du monde
1911 - La pollution, c’est la vie !
1910 - Seule au monde ?
1909 - Le Ciel et la Terre
1908 - Lune de haut vol
1907 - La Lune s’allume
1906 - Nuit sombre
1905 - Soupe de Lune
1904 - Puretés raciales
1903 - Lune-pizza
1902 - La grande question
1901 - Amiens
1900 - Pleur de Lune
1899 - Rêve d’amour
1898 - Vive le patriarcat !
1897 - La libellule
1896 - L’eau qui m’éclaire
1895 - Une question de clarté
1894 - La Lune dort
1893 - Les artifices du spirituel
1892 - Lune normale
1891 - Ni chauffage ni travail
1890 - Lune de fer
1889 - Molle Lune
1888 - Insensible aux malheurs des autres
1887 - Mon visage de vérité
1886 - Amante russe
1885 - J’écris
1884 - Lune martiale
1883 - Je suis un incapable
1882 - Lune creuse
1881 - 1975
1880 - L’éclat d’un fard
1879 - Amour impossible
1878 - Femme au foyer
1877 - L’esprit de la Lune
1876 - Ingérence féministe
1875 - Cratères lunaires
1874 - Lune d’effroi
1873 - Lune des chats
1872 - Les athées
1871 - Lune d’or
1870 - Lune carrée
1869 - Lune de miel
1868 - Folle lune
1867 - Jour de joie
1866 - SMARPHONES : abrutissement des masses
1865 - Sombre lune
1864 - Les mouches
1863 - Ma vie simple
1862 - Clinchamp, terre lointaine
1861 - Je suis un conservateur
1860 - Lune de glace
1859 - Le lac
1858 - Qu’est-ce que la beauté ?
1857 - Lune blanche
1856 - Lune de mer
1855 - Lune de feu
1854 - Présence immortelle
1853 - Surprenante Lune !
1852 - L’éclat de la Lune
1851 - Epis lunaires
1850 - L’autre Lune
1849 - L’amie des cheminées
1848 - Lune morte
1847 - Lune Parmentier
1846 - Lune fatale
1845 - Amour céleste
1844 - Grâces et disgrâces
1843 - Ma maison, c'est la Lune
1842 - Poids de la Lune
1841 - La morte visiteuse
1840 - Ma cabane sous la Lune
1839 - Bleu ciel
1838 - Histoire de lune
1837 - Suc de Turque
1836 - Stéphane Blet
1835 - Ciel bleu
1834 - Bonheur de rat
1833 - Redneck
1832 - Sur le rivage
1831 - Attraction lunaire
1830 - Je suis anti-féministe radical
1829 - Mais qui est-il ?
1828 - Je veux des frontières !
1827 - Les francs-maçons
1826 - Folies lunaires
1825 - Alunir, en un mot
1824 - “Comme ils disent”, chanson d’Aznavour
1823 - Lune tiède
1822 - Globe de rêve
1821 - Effroi
1820 - Vangelis
1819 - L’air de la Lune
1818 - La campagne
1817 - Lune tombale
1816 - Les cailloux
1815 - Je déteste Paris !
1814 - Boules de neige
1813 - Je n’ai pas peur
1812 - Parler vrai
1811 - Les hommes simples
1810 - Quand la Lune panse
1809 - Régine : extinction d’un feu
1808 - Morte veilleuse
1807 - Coeur de pierre
1806 - Noir
1805 - Mystère de la Lune
1804 - Jackson Pollock
1803 - En pleine lumière
1802 - Harmonie des sexes
1801 - Dix ans dans l’azur
1800 - Pluie d’avril
1799 - Le gueux
1798 - Les pommes de pin
1797 - Voyage vers la Lune
1796 - Mystère d’une nuit
1795 - Une lumière turque
1794 - Sans coeur et avec écorce
1793 - Envolé !
1792 - Galante ou l’abcès crevé
1791 - La lumière du Bosphore
1790 - Claude Monet
1789 - Rat aristocrate
1788 - Ukraine : sortez de vos ornières mentales !
1787 - Tranche de ciel et plumes de la Terre
1786 - Les sots écolos
1785 - L’astre turc
1784 - L’Ukraine, je m’en fous totalement !
1783 - Vive la guerre !
1782 - Réponses à un coatch
1781 - Droite pure
1780 - Vains hypersensibles
1779 - Mes valeurs vives
1778 - Le secret
1777 - Force et lumière
1776 - De l’herbe à l’aiguillon
1775 - Jusqu’à la mort
1774 - Zemmour et les journalistes de gauche
1773 - Dur et juste
1772 - La flamme et le marbre
1771 - Mon chat est mort
1770 - Les frères Bogdanoff
1769 - J’ai rêvé de Natacha
1768 - Technologie
1767 - Vers la Lune
1766 - C’était la guerre
1765 - La “tondue de Chartres”
1764 - Dans le métro
1763 - Naissance d’un virus
1762 - Zemmour est-il un de Gaulle ?
1761 - Je suis grand
1760 - Jour de gloire
1758 - Une muse du Bosphore
1758 - Je suis un extrémiste
1757 - Les éoliennes
1756 - Femme terminale
1755 - Autoportrait
1754 - Je suis un sanglier
1753 - Faux fou
1752 - Les affaires
1751 - Octobre
1750 - Le fantôme
1749 - Les écrivains
1748 - Sauvez la France !
1747 - Mes sentiments de pierre
1746 - Une araignée raconte
1745 - Un coeur clair
1744 - Phallocrate
1743 - Les vaches
1742 - Les faibles sont mauvais
1741 - Les sans-visage
1740 - Le trouillard de gauche
1739 - Léonard de Vinci enfant
1738 - Mes froideurs sublimes
1737 - Le romantisme, c’est la décadence
1736 - La Joconde
1735 - La tour Eiffel
1734 - Le Soleil
1733 - Une boule de mystère
1732 - Les masqués
1731 - Burcu Günes, l’or turc
1730 - Léa Désandre
1729 - Le père Dédé
1728 - “Blanc lumière” de Pollock
1727 - Les kikis et les cocos
1726 - Les funérailles de Belmondo
1725 - Pôle Sud
1724 - Vierge au mariage
1723 - La forêt
1722 - Le réveil des clochers
1721 - En septembre
1720 - Extraterrestre
1719 - Ni cagoule ni sérum
1718 - L’astre des morts
1717 - L’idéaliste
1716 - Un ange noir pour les Blancs ?
1715 - Trois heures du matin
1714 - Dur et vivant
1713 - Homme des bois
1712 - De flamme et de sang
1711 - Mes bas potentiels
1710 - Je suis un anti-progressiste
1709 - Eléonore et les Noirs
1708 - Eléonore et les Juifs
1707 - Une française
1706 - Femme d’idées
1705 - Joie de vivre
1704 - Auteur de rêves
1703 - Raison féminine
1702 - Vieillard
1701 - Face de France
1700 - 1789
1699 - Adieu, France
1698 - Célibataire
1697 - L’envers vert
1696 - Avant la chute
1695 - L’aube d’Ève
1694 - Amour raté
1693 - À vue d’homme
1692 - Le loup et l’agnelle
1691 - Têtes à corps
1690 - Trêve de la nuit
1689 - L’été
1688 - L’hiver
1687 - Les âmes de la forêt
1686 - Enfin libre !
1685 - Je vis sans masque
1684 - Enfants du monde
1328 - Je suis apolitique
115 - Le cygne
114 - Le spleen de Warloy-Baillon
113 - Les visiteurs
112 - La Lune
111 - L’amant des laides
110 - Mémoires d’un libertin
109 - Une existence de pompiste
108 - Lettre à mes amis des listes sur Internet