lundi 23 décembre 2013

1030 - Voix de la plume, loi de l'enclume

Je cultive des radis dans les cimetières en bénissant la rosée du matin et le feu du soir.

Je suis ivre de sombres vers et de vertes coquilles, saoul d’eau et sous le sceau du serment.

On m’a dit que les tigres viennent la nuit avec leur voix douce comme la foudre* et j’ai cru en leurs crocs.

Je me suis levé derrière le soleil face à l’amer rite. La Lune m’a envoyé l’air électrique du maître des âmes.

Avec leur voix douces comme la foudre” m’a-t-on dit... J’ai tondu la folle herbe, attendu l’ère étendue, entendu la tortue étalée sur l’aire des poires.

Je marche comme un funambule et vole comme une aile.

Des fruits du potager poétique je ferai une purée des champs et de la merde des fioles affolées je veux faire des pluies de vermicelle.

Je fais pousser de l'oseille autour des ombres furtives et des tombes alourdies de siècles. C’est là ma vigne, dans le signe nocturne et dans le sein aigre. Je crève des pierres et bois des bulles...

“La foudre douce comme une voix de tigre”... Je vois des tiges floues sur une pomme qui sonne.

L’orage éclaire les bois, la poudre de verre gronde dans les fleuves où coulent les larmes des enclumes changées en hallebardes.

Et la plume se sauve, emportée par le vent doux de la folie.

 *Les tigres viennent la nuit avec leur voix douce comme la foudre - (Extrait des paroles d'une chanson)

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1029 - Seul à Noël

Comme chaque année je serai seul à Noël.

Isolé, coupé de mes semblables, loin de tout, sans personne pour célébrer cette nuit magique, sans compagnie pour partager un repas délicieux et animé.

Seul dans le silence, seul dans le froid, seul avec moi-même.

Et, comme chaque année, en apprenant ma solitude, mon isolement, mon repas frugal, des natures charitables me plaindront, se désoleront, se révolteront !

Mais il sera trop tard, Noël sera passé. Le mal sera fait. L’injustice non réparée. L’offense totale.

Et c’est exactement ce que je souhaite !

Que l’on me foute une paix royale en ce jour de recueillement.

Ces bons citoyens “au grand coeur” qui se croient serviables, généreux, humains ne sont que de gros abrutis, de communs dégénérés, des porcs impies et même des âmes dégueulasses pour qui Noël n’est qu’une bacchanale à partager avec d’autres handicapés moraux de leur espèce.

Les gens dans la misère, ce sont eux.

Eux qui ont perdu tout sens spirituel, réduisant dans leur pensée atrophiée, leur coeur corrompu, leurs moeurs dénaturées de gloutons primaires le Noël sacré, propre et saint à une stupide opération alimentaire et de communication avec les “mamies isolées” comme ils disent avec tant de puérilité, et autres “personnes en situation de détresse”... C’est à dire, en réalité, des esprits de qualité qui ont choisi de passer un Noël d’ermite, un Noël de belle spiritualité, authentique, délicieusement austère, aux antipodes de la sottise sociale et de ses impératifs consuméristes.

Ceux qui s’attristent de me savoir ne pas passer la nuit de Noël sous des rires et des guirlandes sont des misérables, des déshérités, des indigents intérieurs.

Pour les êtres d’envergure, s’il y a un jour dans l’année où ils sont heureux de faire abstinence de plaisirs profanes, soulagés de se retrouver enfin seuls, loin des agitations vulgaires, rompant enfin avec les futilités relationnelles, c’est bien le jour de Noël !

Mais ces ventres à deux pattes sur le point de réveillonner sont incapables de comprendre une chose aussi belle, simple et vraie.

Il leur faut des artifices pour se sentir “être dans la fête”, ils ont besoin d’objets brillants, de mots creux et de sourires clinquants. Ces ânes n’ont pas compris le sens intime de Noël. Au lieu de se retrouver avec eux-mêmes ils se diluent dans l’insignifiance des partages anodins et imbéciles de cadeaux sans valeur sacrale qu’ils revendront dès le lendemain sur E-BAY.

Ces ogresques incarnations émues par ma “solitude”, prêtes à “m’aider”, promptes à m’inviter sous leur sapin, à me communiquer leurs joie en toc et à m’adresser leurs risettes frelatées sous prétexte que c’est Noël sont de gentilles brutes, de béotiennes sensibilités à la bonne volonté maladroite.

Une humanité de minables dont il faut avoir pitié. Hermétiques à ma cause, dégradés par leurs habitudes matérialistes, écrasés par leur sort de ruminants, anesthésiés par leur existence horizontale, ces animaux sont dans l’incapacité de saisir ce qui dépasse la hauteur de leur conifère clignotant à clochettes.

Moi j’aime la beauté des nuits de Noël froides et paisibles, le mystère profond des étoiles au-dessus des vieux clochers ou bien la tourmente des éléments, la morsure du gel sur mes doigts, le charme d’une messe de minuit dans une petite église glacée où prient avec sincérité des paysans modestes.

Et chantent des voix humbles.

Pour moi la solitude et le dépouillement des nuits de Noël sont de véritables bénédictions en ce siècle de surabondances. Les personnalités éveillées de mon espèce recherchent cette exquise, libératrice, fraiche âpreté des nuits de Noël.

Seul à Noël, tel est mon plus ardent désir.

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samedi 21 décembre 2013

1028 - La gloire de la femme soumise

Dans le domaine des rapports hommes-femmes je suis sans compromis. Ma conception de l’union conjugale est tranchée, saine, naturelle.

Je suis ce qu’on appelle un macho primaire, un véritable “arriéré”, un épais “poilu des cavernes” et bien “pire” même, selon les critères actuels de notre société peuplée de féministes avachis.

La femme pour moi doit être le faire valoir du mâle, son trophée social et intime, sa conquête soumise, son ombre obéissante, docile, éduquée.

Une femme aimante ne doit pas déprécier son seigneur, au contraire en toutes circonstances elle est tenue de l’honorer, de l’admirer publiquement afin de bien montrer son honnêteté conjugale, son dévouement à la cause machiste.

Une femme dont l’âme n’est pas corrompue par les hérésies féministes aime sa condition de créature vulnérable protégée par son maître et fait tout pour préserver sa féminité au lieu de la sacrifier à la cause d'idéologues pervers, comme le font celles qui se croient libres sous prétexte qu’elles violent les lois naturelles. Ces théoriciens de la religion de l’égalité entre les sexes inculquent aux esprits faibles que la femme peut emprunter les attributs de l’homme, qu’Eve peut singer Adam, que l’aube de Vénus ne se différencie pas du crépuscule de Mars, que l’eau peut imiter le feu et que la flamme ne se distingue pas de l’onde...

Pour moi une crevette reste une crevette, la Lune la Lune, un arbre un arbre, une femme une femme et un homme un homme.

La femme originelle est heureuse de servir l’homme entier. Malheureusement les mensonges des suffragettes ont perverti ce siècle.

Et aujourd’hui ce qui plaît au Ciel est honni sur Terre, ce qui est dicté par les lois du Cosmos est contesté, ce qui provient de la Création est remis en cause...

Les merveilles et nécessités inventées par la nature sont considérées comme contre-nature.

Résultat : la femme est devenue une exilée d’elle-même alors que sous le règne de la vérité elle était la reine de son phallocrate conjoint. Et sa chère liberté sottement conquise consiste désormais à s’enchaîner aux pesanteurs du mensonge féministe, à s’éloigner encore plus des principes sacrés qui jadis faisaient sa gloire, sa légèreté, ses charmes femelles.

Ce qu’elle appelle émancipation n’est qu’abâtardissement de sa pensée, alourdissement de son sort, bête et infructueuse rébellion contre l’ordre et la beauté créés par la volonté céleste pour son épanouissement et celui de son compagnon.

Ceux qui rejettent les richesses éternelles, essentielles, innées de la vie et les remplacent par l’artifice, la mode, l’idéologie du moment juste pour être dans le vent, en phase avec le dernier prophète en vogue du féminisme et non avec les mouvements fondamentaux de l’Univers, ceux-là se mentent à eux-mêmes et se rendent malheureux.

Vivent l’homme qui est homme, la femme qui est femme, vive la différenciation des sexes, vive la soumission féminine et la domination masculine, et vivent les couples harmonieux qui en résultent !

VOIR LES DEUX VIDEOS :

https://rutube.ru/video/b3d2ded577bffbb8e5ba353a323ed311/?pl_id=309616&pl_type=user

http://www.dailymotion.com/video/x1goc0d_la-gloire-de-la-femme-soumise-raphael-zacharie-de-izarra_news

jeudi 19 décembre 2013

1027 - IZARRA, cet astre amer

Raphaël Zacharie de IZARRA vous êtes un gros porc de macho primaire, un réactionnaire anti-homosexualité acharné, un affreux poète qui chante la Lune avec les pieds englués dans du fromage puant, un horrible inquisiteur qui depuis deux années espionne sa voisine célibataire du dessous, je veux parler de Coralie à qui vous avez même adressé trente-trois lettres amoureuses sans signature pour observer ses réactions, un sale égocentrique qui ne songe qu’à ses vidéos publiées sur INTERNET, un drôle d’expérimentateur qui a choisi la courtoisie pour mieux sonder les coeurs pourris, un méchant profiteur qui n’hésite pas à solliciter l’aide gratuite de vagabonds pour interpréter ses textes face à sa foutue caméra !

Fasciné par la beauté de feue Farrah Fawcett, hypnotisé par les clartés sélènes, interrogatif face à la froideur apparente de la grenouille, horrifié par les araignées, vous partez dans tous les sens, la tête dans une tombe le matin, les mains dans la merde l’après-midi, les chevilles enflées le soir en considérant avec immense complaisance vos oeuvres que vous jurez immortelles...

Par pure avarice vous menez la vie dure à votre soumise compagne Isabelle qui, la pauvre, est obligée de passer des hivers dans votre foyer glacé que vous refusez de chauffer depuis plus d’un lustre !

Vous fouillez dans les poubelles de vos voisins, délirez sur les canards glissant sur la Sarthe, crachez nocturnement sur la députée habitant au bas de chez vous sous prétexte qu’elle refuse de publier vos textes sur son blog, et après vous vous étonnez de passer pour un détestable goujat, un persécuteur de canards, un chiffonnier de dernière zone, un outrancier personnage fourrant son nez dans les ordures des autres !

IZARRA, vous n’êtes pas un aristocrate correct.

Cela dit vous présentez de louables aspects que je n’étalerai pas ici afin de ne pas alimenter les feux artificieux de votre nature infantile.

Vous employez souvent le néologisme “escargotique”. Ce n’est pas un reproche, juste une remarque, un détail peut être révélateur de vos propos parfois totalement bavasseux.

IZARRA, vous marchez avec sur la tête un caillou stérile, dans le ventre un diamant en digestion, entre les jambes un énorme point d’interrogation. Et sous vos semelles percées, un tas de casseroles.

A votre approche bien des gens se demandent qui vous êtes. Certains qui croient le savoir, mais se trompent, vous méprisent à cause de vos allures “d’éboueur à particule”, d’autres que votre étrangeté enchante vous saluent, bienveillants, puis regrettent leurs gestes et paroles après avoir lu vos textes. 

1026 - Vivent les gagnants !

Moi j’aime cracher sur les perdants et encenser les gagnants.

Je ne me gêne absolument pas pour adresser mon mépris aux déconfits, mon admiration aux champions.

Je déteste ceux qui galèrent, je veux parler de ces minables qui n’arrivent jamais aux sommets qu’ils convoitent, et lustre sans complexe les bottes des autres, mes préférés, ceux qui réussissent, les collectionneurs de lauriers, les vainqueurs, les rois.

Parce que la réussite appelle la réussite et l’échec engendre la ruine et inspire la déconsidération, je cherche les loups et fuis les agneaux, flatte les forts et injurie les avortons, aide les chefs de peloton et mets des bâtons dans les roues des faiblards.

Publiquement je félicite les gagnants, les flagorne sans retenue, leur chante les plus belles louanges, tandis que pour mieux les humilier aux yeux du monde, j’enfonce de mon talon vengeur et impitoyable jusque dans les dernières profondeurs boueuses de leur échec ces salauds de perdants.

Pas d’hypocrisie sur le fond : je préférerai toujours les gens fortunés aux crève-la-faim, la richesse à la dèche, les intelligents aux sots, les premiers aux derniers, les rires aux larmes, l’éclat à l’insignifiance.

Je profite systématiquement de l’ascension des chanceux pour monter moi aussi, au lieu de les critiquer stérilement, méchamment comme le font les jaloux et les sinistres imbéciles. Dès qu’un petit devient géant, même si la veille encore je le blâmais sans état d’âme, je viens aussitôt me prosterner à ses pieds pour le féliciter, le combler de glorifications, l’étourdir de compliments.

La courbette est chez moi le moyen le plus efficace, le plus doux et le plus intelligent de toucher les coeurs galvanisés par le succès.

La fourberie, la juste attitude que méritent tous ces seconds rôles dont les oeuvres sont lamentablement vouées à la médiocrité.

Mais attention ! Malheur aux lions qui naufragent ! En ce cas, sans la moindre indulgence et avec fracas j’étalerai contre leur face déchue ma semelle méprisante, écraserai très durement leur visage contre la poussière de leur perte afin qu’ils en goûtent l’âpre saveur.

C’est ainsi que je conçois mon élévation sociale et il n’est nullement question de morale là-dedans mais bel et bien de moyens d’actions.

Seuls les éternels pleurnichards, c’est à dire les pigeons, me condamneront.

samedi 14 décembre 2013

1025 - Lily

Texte biographique.

Dans mon enfance à Warloy-Baillon il y avait une naine nommée (ou surnommée ?) Lily.

Etrangement je ne sus jamais son nom de famille. Ou j’ai oublié. Mais je crois me souvenir, ironie du sort, qu’elle s’appelait Lily Lenain (ou Lenin). Sans en être vraiment certain... Bref, c’était une naine et elle était surtout connue dans le village pour cette unique raison.

Pendant la première période de l’âge puéril je fus à la même hauteur qu’elle, puis très vite, vers six ans, je la dépassais d’une tête si bien que je la considérais comme une enfant plus petite que moi. Je me souviens d’ailleurs que, dès lors que j’étais devenu plus haut que trois pommes, elle sollicitait mon aide avec soulagement pour poster son courrier, ne parvenant jamais à atteindre la boîte du bout de son seul mètre (et quelques centimètres).

Lily travaillait dans les fermes de la commune, adaptant l’ouvrage à son nanisme. Elle s’activait essentiellement l’hiver, se consacrant sans ménagement à la récolte et au conditionnement des endives, une spécialité agricole de cette partie de la Picardie. C‘était une travailleuse, une femme sérieuse, âpre à la tâche, endurante, bien qu’elle se montrât volontiers rieuse, avec un sens de l’humour marqué.

Je ne me posais jamais de question sur son existence, son passé, ses pensées, ses rêves, ses sentiments, pour moi elle faisait partie de l’environnement familier de mes années ingénues, elle avait toujours existé en tant que “vive tortue” trottinant dans les rues de Warloy-Baillon. C’était une vieille poupée bancale, une éternelle enfant par la taille, une vieillarde dans le regard, un grand silence quant à sa vie.

Jamais elle ne causait à propos d’elle-même, d’où elle venait, de sa famille, de son infortune, etc.

Si bien que je ne lui prêtais pas d’histoire, nulle jeunesse, point de parents, aucun drame ni bonheur intime. A mes yeux cette silhouette aux gestes de statuette et aux désirs modestes avait toujours été et serait toujours. Figée dans son invariable apparence et ne suscitant guère plus de curiosité ni le moindre questionnement.

Je la réduisais principalement à son nanisme, comme tous les gosses qu’amusent la vue des êtres débiles, boiteux, bossus. Cependant Lily manifestait assez de rires et de gentillesse autour d’elle, quoi qu’elle fût assez discrète, pour faire quelque peu oublier son infirmité. Aussi  sa vue m’inspirait-elle à chaque fois bienveillance et franche amitié. Bien entendu je la tutoyais depuis toujours, en dépit du grand écart d’âge nous séparant.

Je la revois cheminer à petits pas brisés la rue menant chez elle, affable, bien élevée mais secrète. Pour ne pas dire fermée. Avec pudeur je crois. Ou par simple indifférence... Ou fierté. Comment savoir ?

Je suppose qu’elle n’est plus de ce monde à l’heure où j’écris ces lignes, à moins qu’elle ne soit centenaire... Toujours est-il que jamais je ne connus le lot de Lily. Mais je suppose que son sort fut pénible, ses peines lourdes à porter, ses joies humbles.

Un destin solitaire, difficile, cruel, pesant. Ou joyeux et épanoui peut-être, qu’en sais-je vraiment après tout ? Mais je crois qu’elle souffrit, sous sa continuelle réserve, d’avoir sans cesse dû lever les yeux vers ses semblables.

J’ignorerai à jamais ce qui existait par-delà cette image de “pantin cassé” traversant à petites enjambées les longs jours de mon enfance. Qui se souvient encore d’elle ?

Je l’imagine devenue soeur des géantes constellations, consolée de sa terrestre épreuve par d’immenses gerbes de lumière cosmique, voyant désormais tout en grand, jouant avec les étoiles telles des boules de Noël en compagnie des hôtes de l’Olympe avec qui elle partage une juste félicité et saluant comme toujours de bon coeur les astres qu’elle croise là-haut dans son ciel sans limite comme elle saluait les gens qu’elle croisait dans les rues de Warloy-Baillon.

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dimanche 8 décembre 2013

1024 - Les baiseurs de Lourdes

Lourdes : capitale mondiale de la bonne soeur légère en attente de se faire joyeusement sauter la carafe à frites !

Par brochettes entières, des nonnes vertes comme des courges se font prestement enfiler par des hordes de cerfs en soutanes entrés dans les ordres par irrépressible attrait de la robe. Voilà la célèbre farce de Lourdes...

Mais Lourdes c’est aussi un sacré bordel, pardon, un bordel sacré où chacun à sa chance : déniaisement assuré pour tout novice en mal de grotte.

L’eau de Lourdes c’est le nectar des paillards, la liqueur des vicaires, la gnôle des pignoles, la cuve des curés.

Et la cure des enculés.

A Lourdes face au sanctuaire jamais scout ne pâlit. Il faut dire que la forte concentration de cierges incite au péché.

A la pêche à la morue je veux dire.

Il paraîtrait, au dire des pèlerins les plus assidus, que la vive bénédictine serait plus aisée à explorer que l’austère clarisse. Question de longueur d’onde... Les premières seraient très ouvertes au culte. De la Vierge, j’entends. Les secondes plutôt contestataires au labourage direct des zones potagères.

Il en résulte que les unes aiment voir la rose sur le pieu quand les autres préfèrent le pieux arrosage.

Bref, à Lourdes il y en a pour tous les goûts, toutes les bourses et toute la famille !

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samedi 7 décembre 2013

1023 - Allégeons Lourdes !

Lourdes : indigeste cité où coule le mensonge comme un camembert puant et où règne la plus sotte hystérie religieuse...

Capitale planétaire de l’arnaque spirituelle, cette ville est poisseuse de bondieuseries, de chasteté écoeurante et de mollesse intellectuelle.

Là-bas les larmes tarifées de la crédulité plébéienne dégoulinent pieusement et certainement. Par flots industriels, pour dire la vérité. La grotte suinte sacrément la bêtise, l’hérésie et l’urine rance de la foi qui fait mal au foie.

L’escroquerie des Vierges en plastique vendues à prix d’or -et même à prix dérisoire- vaut celle du trafic officiel de cierges brûlant à hautes doses horaires.

Lourdes est pesante et non-pensante. C’est une enclume de fausseté et de merveilleux dupontesque plantée dans un sol stérile. Un miracle de connerie humaine.

Voilà une ville-farce confondant la vertu évidente qu’elle n’est pas avec la verrue clinquante qu’elle est.

Lourdes est le Las-Vegas de l’Eglise.

Un jackpot exploitable toute l’année, une machine à sous magique pour éternels perdants heureux de se faire plumer par les anges économiques.

VOIR LA VIDEO :

https://rutube.ru/video/a838fde5bdfd369f0e2b5bf1a5435142/

https://www.youtube.com/watch?v=W4TBXzStpj0

http://www.dailymotion.com/video/x2zd31b

1022 - Un sourdingue surdoué

Il a le front orageux, le regard furieux des grandes âmes sombres et lumineuses.

Ses cheveux sont des flammes. Ses sourcils de la cendre. De sa gorge rude sortent des grognements d’ours. Sur ses tempes, des flots d’amertume.

Ses larmes lui ressortent par les oreilles.

Cet animal est sourd. Pourtant son ouïe débile est un temple.

En lui, la folie du génie. La maladresse de l’idiot. L’allure du bohémien.

Il a l’avachissement du vieillard mais la hauteur de l’enfant. Avec ses trompettes dans le coeur, son tambour dans la tête et ses cordes sous la semelle, il va, sensible à la brise, attentif à la tempête, imperturbable.

Asocial, il est à l’écoute des murmures de la pluie, du chant des chats de gouttières, des cris de chouettes et de l’infini. Sa surdité le rend spectral, bestial, humain.

Auguste vagabond, il erre quiètement sous la Lune. A la ville il est pastoral. En pleine campagne il rêve de gloire.

Et face au public, devient gauche.

Il mène son monde à la baguette mais est incapable de se gouverner pour les choses domestiques. C’est une ombre vaste et solennelle qui adoucit les siècles et fait gronder les étoiles.

dimanche 1 décembre 2013

1021 - Eloge de la pitié

Il y en a qui font la promotion de l’humanitaire, de la solidarité universelle, de la fraternité d’inspiration purement laïque, mettant en avant leurs désintéressés sentiments égalitaires, leur respectable -et exportable- conscience républicaine, leur progressiste sens social...

Leurs nobles élans pleins d’idéaux séculiers, qu’ils soient politiques ou apolitiques, ont ceci de commun qu’ils sont dénués de toute notion de pitié, jugée dégradante, humiliante, dévalorisante. Pour leurs auteurs comme pour leurs destinataires.

Moi, j’aime éprouver de la pitié envers mes semblables et bien le leur montrer, la cultiver, la défendre, la promouvoir. Et je veux réhabiliter cette divine compassion qui redresse les esprits tordus, angélise les pauvres diables, relève les “écrasés du sort”, bref soulage toutes les misères, honore non seulement leurs zélateurs mais également les déshérités, les éclopés, les êtres déchus à qui elle est destinée, au lieu de les diminuer comme on le croit à tort.

Refuser la pitié des autres, c’est faire preuve d’orgueil et d’indécence : l’objecteur dont la fierté est mal placée devrait être puni pour ainsi rejeter la main secourable inspirée par les gonflements du coeur charitablement ému !

S’interdire de ressentir de la pitié à l’égard d’autrui au nom de la “dignité républicaine”, du “respect de l’image de soi et de son prochain” ou de tout autre prétexte gauchiste ou de pseudo générosité, c’est nier le caractère sacré de cette douce flamme biblique, bafouer la vraie grandeur d’âme, offenser le véritable esprit de bienfaisance, injurier les authentiques valeurs spirituelles.

Ces “belles sensibilités” sous des dehors glorieusement humanitaristes dénigrent la pitié pour la remplacer par les agnostiques froideurs de la “raison citoyenne”, par d’impies mais équitables ferveurs médiatiques, par d’irréligieux mais civiques calculs si chers au “Téléthon” qui les matérialise sur écran géant avec trompettes et télégéniques artifices..
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La pitié, politiquement très incorrecte, a été évacuée des coeurs humains.  Disparue de la circulation intérieure.

Telle est l’oeuvre de l’esprit satanique de notre société à qui la pitié fait honte.

Les “Restos du Coeur”, réponse alimentaire à la pénurie des salaires, certes efficace mais dénuée de toute idée de pitié par prétendu respect envers leurs bénéficiaires (qui souvent se sentent humiliés), ne sont ni plus ni moins qu’une vaste et neutre mangeoire nationale pour ventres humains en mal de remplissage. Le “Téléthon”, une industrie hospitalière. L’aide aux plus démunis, une simple loi socialiste.

Bref, sans la pitié l’affamé se résume à un vulgaire animal à nourrir, l’infirme à un outil à réparer, le pauvre à une statistique.

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Liste des textes

2148 - Je suis de la droite honteuse
2147 - Les écrivains sont des poids morts
2146 - L’héritage de Clinchamp
2145 - Clinchamp, une histoire sans fin
2144 - Vent de mystère à Clinchamp
2143 - Ma cachette à Clinchamp
2142 - Randonnée à Clinchamp
2141 - Eclipse de Lune à Clinchamp
2140 - Un arc-en-Ciel à Clinchamp
2139 - Clinchamp sous l’orage
2138 - J’ai rêvé de Clinchamp
2137 - Jour de l’An à Clinchamp
2136 - Vacances d’été à Clinchamp
2135 - Attente à Clinchamp
2134 - Un jour ordinaire à Clinchamp
2133 - Or de France
2132 - La compagne des esseulés
2131 - Loup de lumière
2130 - Spleen
2129 - Le pitre
2128 - Les corbeaux de Clinchamp
2127 - Un homme heureux à Clinchamp
2126 - Le mouton
2125 - Des lutins à Clinchamp ?
2124 - Je suis fort !
2123 - Paroles prophétiques
2122 - L’égalité entre les hommes est injuste !
2121 - L’idéaliste de gauche
2120 - La femme est la monture de l’homme
2119 - Clinchamp sous la neige
2118 - Le Nord et le Sud
2117 - Pourquoi j’aime Clinchamp ?
2116 - Convaincre Blandine
2115 - Un couple de vieillards à Clinchamp
2114 - Le facteur de Clinchamp
2113 - Tristesse et beauté à Clinchamp
2112 - L’Art
2111 - Botte à l’oeuf
2110 - Les bûcherons de Clinchamp
2109 - Le coucou de Clinchamp
2108 - BFMTV : l’écran de la vérité
2107 - Lettre anonyme
2106 - Je ne suis pas amoureux de Paris !
2105 - Un jour d’hiver à Warloy-Baillon
2104 - La femme soumise brille comme une casserole
2103 - Les chouettes de Clinchamp
2102 - Quand la tempête s’abat sur Clinchamp...
2101 - L’aile et la pierre
2100 - Mes amis les maudits
2099 - Le brouillard de Clinchamp
2098 - Artiste de gauche
2097 - L’éternité dans la tête
2096 - Toussaint à Clinchamp
2095 - Chagrin échappé
2094 - Clinchamp-sur-Mystère
2093 - Les cafards
2092 - Loup des airs
2091 - Le loup de Clinchamp
2090 - En latin, c’est plus beau !
2089 - Les patates de Clinchamp
2088 - L’enfant des airs
2087 - Ciel de France
2086 - Thaïs d’Escufon
2085 - Les tomates de Clinchamp
2084 - Jérôme Bourbon
2083 - Les chats de Clinchamp
2082 - Poupée d’ailleurs
2081 - Pierre de feu
2080 - Les champs de Clinchamp
2079 - L’éclosion
2078 - Vacuité des bouquinistes
2077 - Les toits
2076 - Freud
2075 - Sport
2074 - Le simplet de Clinchamp
2073 - Les oiseaux de Clinchamp
2072 - Je ne suis pas cartésien
2071 - Au cimetière de Clinchamp
2070 - Le Panthéon pour Hugo, l’évasion pour Izarra
2069 - Les rats de la France
2068 - Le curé de Clinchamp
2067 - Mon trou à Clinchamp
2066 - Saint-Léonard-des-Bois
2065 - Les cloches de Clinchamp
2064 - Un épouvantail à Clinchamp
2063 - Les rêves de Clinchamp
2062 - Je suis raciste
2061 - L’injustice sociale ne me choque pas
2060 - Les femmes de Clinchamp
2059 - Les jours vides de Clinchamp
2058 - Une grand-mère
2057 - Clinchamp vers 1970
2056 - La femme de soixante ans
2055 - Sale temps à Clinchamp
2054 - Un grand voyage en forêt
2053 - L’ailé et l’aliéné
2052 - Souvenirs lointains
2051 - Domestication d’une greluche
2050 - Déprime à Clinchamp
2049 - L’amour à Clinchamp
2048 - Les Droits de l'Homme, c'est la négation de l'homme !
2047 - Les hivers de Clinchamp
2046 - Les chemins de Clinchamp
2045 - Seul au monde
2044 - Ne me parlez pas d’amour
2043 - Tristesse de l’été
2042 - Jour de fête à Clinchamp
2041 - Monsieur Lecon
2040 - Châtelain
2039 - Les ailes de Clinchamp
2038 - Tremblement de terre
2037 - Nuit d’amour
2036 - Pluie de joie à Clinchamp
2035 - Les gauchistes
2034 - Clinchamp sous les clartés lunaires
2033 - Henri d’Anselme, héros hétéro rétro
2032 - Les hirondelles
2031 - Retraite dans la forêt
2030 - Mon bosquet
2029 - L’or de Clinchamp
2028 - Sur le chemin
2027 - La souche
2026 - Clinchamp, ce voyage sans fin
2025 - Sardines à l’huile
2024 - Les fantômes
2023 - Le silence de la forêt
2022 - Les arbres
2021 - Les joies de Clinchamp
2020 - La merde républicaine
2019 - Les ailés
2018 - Les soirées de Clinchamp
2017 - Parasite
2016 - Clinchamp, les routes de l’ennui
2015 - Moi français, je déteste les migrants !
2014 - Répugnante
2013 - Les complotistes
2012 - Je déteste les livres de philosophie !
2011 - Le bossu de Clinchamp
2010 - La lumière de Clinchamp
2009 - Les crépuscules de Clinchamp
2008 - Les nuits à Clinchamp
2007 - Les aubes de Clinchamp
2006 - Je suis un oiseau à Clinchamp
2005 - Les rats de Clinchamp
2004 - Les papillons de Clinchamp
2003 - Les richesses de la normalité
2002 - Le Rimbaud des bobos
2001 - Les vaches de Clinchamp
2000 - La folle de Clinchamp
1999 - Mon ego solaire
1998 - Vague Lune
1997 - Ma cabane à Clinchamp
1996 - Moi, IZARRA
1995 - Mais qui donc est Dardinel ?
1994 - La Dame Blanche de Clinchamp
1993 - Le Dalaï-Lama
1992 - Pluie à Clinchamp
1991 - Je suis sexiste
1990 - Les flammes du printemps
1989 - Le rustaud de Clinchamp
1988 - Les larmes d’Amsterdam
1987 - Clinchamp, terre d’envol
1986 - La Joconde de Clinchamp
1985 - Face cachée de Clinchamp
1984 - La clocharde de Clinchamp
1983 - Je suis un extraterrestre
1982 - Clinchamp sous les éclats de novembre
1981 - Clinchamp au bord des larmes
1980 - Les fantômes de Clinchamp
1979 - Les pissenlits de Clinchamp
1978 - Clinchamp : fin et commencement de tout
1977 - Amsterdam
1976 - J’habite sur la Lune
1975 - Secret de Lune
1974 - Les ailes de la Lune
1973 - Voir Clinchamp et sourire
1972 - La pierre et l’éther
1971 - Clinchamp, au bonheur des larmes
1970 - Clinchamp, mon dernier refuge
1969 - Croissant de Lune
1968 - Mais d’où vient donc la Lune ?
1967 - Lune lointaine
1966 - Lune éternelle
1965 - Sandrine, notre voisine
1964 - Rêve de Lune
1963 - Lune des rêves
1962 - La Lune dans le bleu
1961 - Lune ultime
1960 - Les tourmentés
1959 - Clinchamp, paradis des ombres
1958 - Lune absente
1957 - Je raffole des commérages !
1956 - Clinchamp : royaume des humbles
1955 - La Dame dans le ciel
1954 - Palmade : de la gloire au gouffre
1953 - Evasion
1952 - Tatouages, ces marques de faiblesse
1951 - L’égalité est un enfer !
1950 - Repas sur l’herbe à Clinchamp
1949 - Escale à Clinchamp
1948 - Beauté morbide de la Lune
1947 - J’ai dormi dehors à Clinchamp
1946 - Les humanitaires sont des parasites !
1945 - Sur les routes de Clinchamp
1944 - Une année à Clinchamp
1943 - Tristesse du printemps
1942 - Bulle de Terre
1941 - Jour de joie à Clinchamp
1940 - L’inconnu de Clinchamp
1939 - Le ciel de Clinchamp
1938 - Les éclats de Clinchamp
1937 - Le voyageur
1936 - Fête triste
1935 - Les antiracistes
1934 - Jean Messiha
1933 - Coeur gelé
1932 - Romantisme de pierre
1931 - La femme est sous mes pieds
1930 - Burcu Güneş, un air léger
1929 - Je déteste les pauvres !
1928 - Quand mon coeur s’allume
1927 - Intègre, entier, râpeux
1926 - Le cheval
1925 - Homme mauvais
1924 - Un trou sous le ciel
1923 - Hauteur de la Lune
1922 - Nulle part, là-bas, ailleurs
1921 - Belle Lune
1920 - Salades lunaires
1919 - Lettre à Reynouard
1918 - MARGUERITE OU L’HISTOIRE D’UNE VIEILLE FILLE
1917 - Récoltes lunaires
1916 - Je suis français de souche
1915 - Lune mortuaire
1914 - Clinchamp, cité des oubliés
1913 - Clinchamp, l’air de rien
1912 - Clinchamp, sommet du monde
1911 - La pollution, c’est la vie !
1910 - Seule au monde ?
1909 - Le Ciel et la Terre
1908 - Lune de haut vol
1907 - La Lune s’allume
1906 - Nuit sombre
1905 - Soupe de Lune
1904 - Puretés raciales
1903 - Lune-pizza
1902 - La grande question
1901 - Amiens
1900 - Pleur de Lune
1899 - Rêve d’amour
1898 - Vive le patriarcat !
1897 - La libellule
1896 - L’eau qui m’éclaire
1895 - Une question de clarté
1894 - La Lune dort
1893 - Les artifices du spirituel
1892 - Lune normale
1891 - Ni chauffage ni travail
1890 - Lune de fer
1889 - Molle Lune
1888 - Insensible aux malheurs des autres
1887 - Mon visage de vérité
1886 - Amante russe
1885 - J’écris
1884 - Lune martiale
1883 - Je suis un incapable
1882 - Lune creuse
1881 - 1975
1880 - L’éclat d’un fard
1879 - Amour impossible
1878 - Femme au foyer
1877 - L’esprit de la Lune
1876 - Ingérence féministe
1875 - Cratères lunaires
1874 - Lune d’effroi
1873 - Lune des chats
1872 - Les athées
1871 - Lune d’or
1870 - Lune carrée
1869 - Lune de miel
1868 - Folle lune
1867 - Jour de joie
1866 - SMARPHONES : abrutissement des masses
1865 - Sombre lune
1864 - Les mouches
1863 - Ma vie simple
1862 - Clinchamp, terre lointaine
1861 - Je suis un conservateur
1860 - Lune de glace
1859 - Le lac
1858 - Qu’est-ce que la beauté ?
1857 - Lune blanche
1856 - Lune de mer
1855 - Lune de feu
1854 - Présence immortelle
1853 - Surprenante Lune !
1852 - L’éclat de la Lune
1851 - Epis lunaires
1850 - L’autre Lune
1849 - L’amie des cheminées
1848 - Lune morte
1847 - Lune Parmentier
1846 - Lune fatale
1845 - Amour céleste
1844 - Grâces et disgrâces
1843 - Ma maison, c'est la Lune
1842 - Poids de la Lune
1841 - La morte visiteuse
1840 - Ma cabane sous la Lune
1839 - Bleu ciel
1838 - Histoire de lune
1837 - Suc de Turque
1836 - Stéphane Blet
1835 - Ciel bleu
1834 - Bonheur de rat
1833 - Redneck
1832 - Sur le rivage
1831 - Attraction lunaire
1830 - Je suis anti-féministe radical
1829 - Mais qui est-il ?
1828 - Je veux des frontières !
1827 - Les francs-maçons
1826 - Folies lunaires
1825 - Alunir, en un mot
1824 - “Comme ils disent”, chanson d’Aznavour
1823 - Lune tiède
1822 - Globe de rêve
1821 - Effroi
1820 - Vangelis
1819 - L’air de la Lune
1818 - La campagne
1817 - Lune tombale
1816 - Les cailloux
1815 - Je déteste Paris !
1814 - Boules de neige
1813 - Je n’ai pas peur
1812 - Parler vrai
1811 - Les hommes simples
1810 - Quand la Lune panse
1809 - Régine : extinction d’un feu
1808 - Morte veilleuse
1807 - Coeur de pierre
1806 - Noir
1805 - Mystère de la Lune
1804 - Jackson Pollock
1803 - En pleine lumière
1802 - Harmonie des sexes
1801 - Dix ans dans l’azur
1800 - Pluie d’avril
1799 - Le gueux
1798 - Les pommes de pin
1797 - Voyage vers la Lune
1796 - Mystère d’une nuit
1795 - Une lumière turque
1794 - Sans coeur et avec écorce
1793 - Envolé !
1792 - Galante ou l’abcès crevé
1791 - La lumière du Bosphore
1790 - Claude Monet
1789 - Rat aristocrate
1788 - Ukraine : sortez de vos ornières mentales !
1787 - Tranche de ciel et plumes de la Terre
1786 - Les sots écolos
1785 - L’astre turc
1784 - L’Ukraine, je m’en fous totalement !
1783 - Vive la guerre !
1782 - Réponses à un coatch
1781 - Droite pure
1780 - Vains hypersensibles
1779 - Mes valeurs vives
1778 - Le secret
1777 - Force et lumière
1776 - De l’herbe à l’aiguillon
1775 - Jusqu’à la mort
1774 - Zemmour et les journalistes de gauche
1773 - Dur et juste
1772 - La flamme et le marbre
1771 - Mon chat est mort
1770 - Les frères Bogdanoff
1769 - J’ai rêvé de Natacha
1768 - Technologie
1767 - Vers la Lune
1766 - C’était la guerre
1765 - La “tondue de Chartres”
1764 - Dans le métro
1763 - Naissance d’un virus
1762 - Zemmour est-il un de Gaulle ?
1761 - Je suis grand
1760 - Jour de gloire
1758 - Une muse du Bosphore
1758 - Je suis un extrémiste
1757 - Les éoliennes
1756 - Femme terminale
1755 - Autoportrait
1754 - Je suis un sanglier
1753 - Faux fou
1752 - Les affaires
1751 - Octobre
1750 - Le fantôme
1749 - Les écrivains
1748 - Sauvez la France !
1747 - Mes sentiments de pierre
1746 - Une araignée raconte
1745 - Un coeur clair
1744 - Phallocrate
1743 - Les vaches
1742 - Les faibles sont mauvais
1741 - Les sans-visage
1740 - Le trouillard de gauche
1739 - Léonard de Vinci enfant
1738 - Mes froideurs sublimes
1737 - Le romantisme, c’est la décadence
1736 - La Joconde
1735 - La tour Eiffel
1734 - Le Soleil
1733 - Une boule de mystère
1732 - Les masqués
1731 - Burcu Günes, l’or turc
1730 - Léa Désandre
1729 - Le père Dédé
1728 - “Blanc lumière” de Pollock
1727 - Les kikis et les cocos
1726 - Les funérailles de Belmondo
1725 - Pôle Sud
1724 - Vierge au mariage
1723 - La forêt
1722 - Le réveil des clochers
1721 - En septembre
1720 - Extraterrestre
1719 - Ni cagoule ni sérum
1718 - L’astre des morts
1717 - L’idéaliste
1716 - Un ange noir pour les Blancs ?
1715 - Trois heures du matin
1714 - Dur et vivant
1713 - Homme des bois
1712 - De flamme et de sang
1711 - Mes bas potentiels
1710 - Je suis un anti-progressiste
1709 - Eléonore et les Noirs
1708 - Eléonore et les Juifs
1707 - Une française
1706 - Femme d’idées
1705 - Joie de vivre
1704 - Auteur de rêves
1703 - Raison féminine
1702 - Vieillard
1701 - Face de France
1700 - 1789
1699 - Adieu, France
1698 - Célibataire
1697 - L’envers vert
1696 - Avant la chute
1695 - L’aube d’Ève
1694 - Amour raté
1693 - À vue d’homme
1692 - Le loup et l’agnelle
1691 - Têtes à corps
1690 - Trêve de la nuit
1689 - L’été
1688 - L’hiver
1687 - Les âmes de la forêt
1686 - Enfin libre !
1685 - Je vis sans masque
1684 - Enfants du monde
1328 - Je suis apolitique
115 - Le cygne
114 - Le spleen de Warloy-Baillon
113 - Les visiteurs
112 - La Lune
111 - L’amant des laides
110 - Mémoires d’un libertin
109 - Une existence de pompiste
108 - Lettre à mes amis des listes sur Internet