Les galaxies que je regarde à travers les télescopes m’extasient littéralement.
Les célestes escabeaux des astronomes m’escargotent doctement et me régalent également comme l’estragon qui s’agglutine au sommet des féculents.
Ce qui m’asticote et me botte dans les galaxies, c’est l’estomatologue assydropique concerté de la télémétrie symétrique aux prises avec les gros agglomérats autoscopiques, antisauciscopiques, résolument azuréens, considérablement prothozoériens et vastement patatesques.
Les galaxies m’auscultausiasment aussi follement qu’une énorme masse mise en forme entre les limites de la molle limace et les hauteurs des cosmiques et éthyliques liqueurs.
Enfin bref, pour le dire plus simplement, les galaxies agglumitaviques, gargu-tartomicato-sphériques et glumitascopiques m’extasient littéralement, je le répète.
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1 commentaire:
de Izarra, l'homme-oïde, est certainement l'astre le plus brillant de la toile cristal liquide.
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