mardi 30 avril 2013

988 - Je suis un arriéré intolérant

Aux yeux de ce monde perverti par la pensée aseptisée, ramolli par les sacro-saints lobbys manipulateurs de masses bêlantes, je passe bien évidemment pour un horrible tyran irrespectueux qui ne tolère pas la différence...

En réalité c’est tout le contraire: la tyrannie et l’irrespect sont du côté de ceux qui sous couvert de progrès corrompent le siècle, dénaturent l’homme en rabaissant tout au niveau de ses casseroles, de son slip, de son compte en banque, glorifiant le divertissement, l’homosexualité, la dépravation, le consumérisme, les jouissances immédiates. Ce sont ces dictateurs de la pensée uniformisée qui salissent les vieux en les appelant SENIORS, les Noirs en les désignant sous le terme de BLACKS, les grosses en les qualifiant de RONDES.

Avec ces menteurs, plus aucune aspérité verbale n’est autorisée ! 

“VIEUX”, “NOIR” ou “GROSSE” ne sont même pas des aspérités de langage mais des vocables ordinaires sans la moindre connotation offensante, c’est cela qui est vraiment extraordinaire ! Criminaliser le langage courant est la meilleure méthode pour asservir en douceur le troupeau humain. A travers ce contrôle des mots, c’est à dire de la pensée, une véritable révolution est en train de s’effectuer dans notre société sans que personne ne réagisse.

Ce que mes détracteurs nomment “tolérance” ou “respect d’autrui” n’est qu’avachissement fédérateur des moeurs et des consciences, érigé en vertu.

Tolérer l’avortement au nom du confort de la femme, la pornographie au nom de l’art, le mariage des sodomites au nom de l’égalité et se scandaliser sous prétexte que des “indélicats” ne masquent pas le logo d’un produit, ne floutent pas le visage d’un enfant, les plaques d’immatriculation des véhicules ou les simples passants filmés lors de reportages télévisés, n’est-ce pas là le signe évident de la décadence générale du système ?  On admet sans problème des crimes tels que l’IVG, la dépravation morale, la corruption des institutions et on s’enflamme pour dénoncer des peccadilles relatives à des choix de mots, des rejets de modes, des protections de marques...

Moi je suis choqué par la vue de bougres se donnant la main dans la rue. Je ne reconnais pas le mariage des homosexuels, sans valeur à mes yeux. Je ne transige pas sur cette ignominie que constitue la légalisation de l’avortement. Je me dresse résolument contre les lobbys homosexuels et féministes qui voudraient rendre légitimes les outrances et perversions qu’ils incarnent tout en culpabilisant l’honnêteté, la droiture, la modestie.

Je demeure intègre : j’appelle un vieux un vieux, un Noir un Noir, une grosse une grosse.

Et un homosexuel, un sodomite même s’il ne pratique pas la sodomie.

Et je ne crains pas d'exhiber les logos de COCA-COLA et de TF1 en disant que ces deux choses sont de la merde.

Je ne me laisserai pas châtrer par la pensée molle de cette France de frileux, de décérébrés, d’épilés.

Oui, définitivement, moi Raphaël Zacharie de IZARRA je suis ce que mes contradicteurs avilis par les compromis du temps, dévoyés par les pressions profanes, abâtardis par les lavages de cerveaux des médias, abêtis par les manoeuvres des marchands de lessive, putréfiés par les intérêts de dégénérés hauts placés appellent un “arriéré intolérant”.

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https://rutube.ru/video/9f2da8caf1952030f5590ab5b977359b/

vendredi 26 avril 2013

987 - Justice esthétique et droits de la beauté

Dans cette société obsédée d’égalité artificielle entre les individus, pourtant tous différents par définition, paradoxalement on a tendance à dénigrer beauté, fortune, réussite et chance insolentes sous prétexte qu’elles seraient contraires à l’idéologie égalitaire, plus proche du tyrannique désir de nivellement généralisé que de la reconnaissance et du profond respect -voire de la promotion- des sommets éclatants de certains êtres.

Selon les critères non pas de nos théories sociales, morales ou religieuses fumeuses mais selon les réalités et lois physiques (atomiques, astronomiques, chimiques, physiologiques, etc.) et également historiques, artistiques et psychologiques universelles observées dans la Création et les oeuvres humaines, la vraie justice devrait être basée non sur la glorification des fruits médiocres mais sur le modèle de l’élitisme.

Ainsi, pour prendre un exemple quotidien, les belles femmes devraient être respectées pour leur seule beauté, entretenues par des hommes fortunés, éduqués, bien nés, chantées et protégées par nos textes de loi au lieu d’être injustement, honteusement ravalées au rang de simples, vulgaires citoyennes comme les autres. Non, les enfants d’Aphrodite ne sont pas des femmes comme les autres.

Les poupées de porcelaines ne sont pas des poupées de chiffon.

Les laides, plutôt que de les placer iniquement à la même hauteur que les créatures sous prétexte qu’elles sont boiteuses, obèses ou que leurs traits sont grotesques, devraient être battues pour leur indécence de vouloir usurper le trône des élues. Raillées pour leur ignoble imposture. Mises à l’écart de la belle population et pourquoi pas, attelées de force aux charrues. Les champs, voilà la place méritée de ces femelles ridicules et nuisibles qui tentent de singer les mannequins de salons. Cette vile volaille serait moins stérile à tracer des sillons du matin au soir qu’à vouloir vivre 24 heures sur 24 dans une peau trop flatteuse pour son plumage sans éclat !

Augmenter les délices de ceux et celles qui ont eu la grâce de naître sous l’aile de quelque dieu débordant de bonté et de générosité, n’est-ce pas une vraie noble cause pour la société ? Promouvoir la beauté, la fortune, l'allégresse des gens qui le méritent, que ce soit par la naissance, la chance ou le travail, ne serait-ce pas un acte plus fructueux, plus efficace, plus sain, plus valorisant, plus juste et plus cohérent que celui de s’échiner à faire croître une ortie qui, on le sait bien, ne deviendra jamais rose ?

La condition humaine ne correspond pas à l’imbécile idéal d’égalité de ces écervelés qui décrètent que les humains doivent tous se ressembler devant la divinité républicaine, avoir les mêmes chances de réussite, mériter la même félicité, accéder aux mêmes pommes sur l’arbre, aspirer à de semblables buts, partager les mêmes goûts, vivre le même nombre d’années, etc.

Les hommes ne sont pas des robots et la beauté, la laideur, la santé, la sottise, le génie, la maladie, la vie et la mort font partie de l’Humanité en dépit de toutes dénégations.

Aussi, à l’aune de cette réalité dure mais belle, cruelle mais divine, je prône la justice esthétique et le rétablissement des faveurs et bénéfices naturels : un statut privilégié et des droits supplémentaires à l’égard de la beauté, de la fortune et de l’intelligence des gens chanceux afin de protéger leurs avantages contre la jalousie perverse et la méchanceté gratuite des pauvres, des contrefaits et des sots, et de faire perdurer ce bonheur en tant que nouvelle norme cosmique inaliénable, revue non pas simplement à la hausse mais au sommet.

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https://rutube.ru/video/2638f85d89cbbaca49e377d73ce29283/

dimanche 7 avril 2013

986 - A propos de Juan Asensio

Asensio est une outrance de la littérature, une aberration des Lettres. Au début je me suis doucement laissé prendre au piège des apparences mais peu à peu j’ai compris à qui j’avais réellement affaire : un prétentieux vif et drôle dans ses poses de critique maudit et à travers ses inénarrables insultes scatologiques.
 
Bref, un clown instruit.
 
Malheureusement, capable de réelle méchanceté envers ses détracteurs.
 
Sa conception de l'écriture ? Poussiéreuse, sinistre, comiquement grave, vainement intellectualisée, à l’extrême.
 
Plusieurs fois j'ai essayé d’entrer dans son univers austère mais, non content d’arborer le masque de la gravité, cette bulle de salon est décidément touffue, irrespirable, aussi impénétrable qu'une jungle, étouffante, soporifique, indigeste et furieuse.
 
Je ne lui reproche pas de ne pas savoir écrire, seulement de vouloir enfermer les Belles Lettres dans cet inutile carcan intellectuel.
 
Nombreux sont ceux qui ont eu tristement affaire sur le web à cette baudruche savante..
 
Personnellement ce personnage m’amuse. En 2001 j’ai raté un rendez-vous avec lui à Paris, dommage... Je n’ai plus eu l’occasion de pouvoir rencontrer cet orageux lettré.
 
Il faut savoir que ce brûleur de feuilles sèches à l’écrit rébarbatif, presque toujours illisible, est un fou des livres.
 
Fou au sens pathologique du terme.
 
Tête brillante au coeur pourri, cet animal semble incapable de compassion, d’humanité élémentaire envers ses frères. Il parle beaucoup de Dieu, pratique peu l’amour de son prochain.
 
Je ne lui connaissais aucun ami sur un Forum du web où je l’avais croisé pour la première fois, rien que des ennemis ! Et de vrais, qu’il a voués à la merde, au diable, à toutes les ordures. Il préfère résolument  la compagnie de ses romans plutôt que celle de ses semblables.
 
Avec son panache surchargé l’injure gratuite, systématique et étronesque étirée au kilomètre côtoie la dissection littéraire la plus mortellement ennuyeuse. Je ne dis pas que le fond est nécessairement inepte, je dis que la forme est inabordable, lourde, confuse parfois. 

Justement, parce qu’Asensio ne sait pas manier le stylo, ou plutôt parce qu'il scribouille bien, ce qui revient au même, il barre d’emblée le passage à la plupart des lecteurs.

Il peut à merveille cracher de la salive. Mais pas de l'encre.

Pour entrer dans son blog, il faut une volonté de fer. Pénible à lire, le verbe aussi aérien qu’une enclume, notre Don Quichotte des librairies est peut-être persuadé que pour résonner dans son rôle de pyromane de pages creuses il faut fatalement adopter un style complexe, dense, pesant... Pense-t-il au courageux lectorat qui le suit ?
 
Pour moi c’est un éclatant vaniteux.
 
Je ne prends pas au sérieux ses productions. Flatteusement emballés dans du papier journal du Figaro, ses doctes articles restent pour moi du poisson rance. J’avais déjà expliqué que l’authentique "flamme de la prose" n’avait rien à voir avec les analyses à la fois enragées et dormitives de ce clerc précieux.
 
A mon avis il doit se nourrir des fumées âcres de tous ses contradicteurs qui le prennent au premier degré... C'est un foudroyeur d'auteurs vivant dans un monde d’artifices mentaux, d’abstractions masturbatoires, de chimères conceptuelles auxquels il donne du prix.
 
Ce géant du microcosme des infatués a un énorme défaut : son manque absolu de bienveillance à l’égard des petits.
 
Mais surtout à l‘égard des grands : ils risquent de lui faire de l’ombre.
 
C’est un gamin de quatre ans trop gâté qui au nom de l’art des mots se croit permis d’outrager ses adversaires. Il a une très haute opinion de lui-même, un mépris total des autres. Il fout le feu a leurs bibliothèques quand il les estime trop plates, trop pauvres, trop flasques. Cela dit, je ne lui donne pas forcément tort sur ce point...
 
Dans les rapports humains les extrêmes chez lui sont la norme.
 
C'est un pitre plumesque irrespectueux, injurieux et agressif.
 
Mais il faut en rire. Saine attitude à adopter face à ses provocations. Engager le combat avec lui est une grossière erreur, qui plus est stérile : il ne cherche qu’à transformer les plumes en glaives. Et se montre fort zélé dans cette martiale entreprise.
 
Quand on a compris à qui on a affaire, il n’est plus possible de lui accorder une attention solennelle. Je n’éprouve nulle animosité à son égard : en voulant singer les statues, il fait le guignol. Plus il se veut considérable, érudit, profond dans ses analyses des oeuvres, plus je le trouve ridicule car il en devient incompréhensible, inutilement embrouillé, volontairement inintelligible, faussement pénétrant, voire franchement délirant.
 
Avec son invariable numéro de cirque, il incarne à mes yeux la plus flagrante tromperie de la pensée.
 
C’est surtout un immature social. Il est bas envers ses opposants. S’en rend-il seulement compte ? Comme tous les sales galopins aux âmes dégueulasses, il n’a pas cette faculté de se mettre à la place de ses victimes.
 
Il a toute la lumière de l'esprit. Mais d'élan fraternel, point. Son éclat cérébral, il le met au service de la discorde, preuve de sa coupable malfaisance, alors qu’il aime à se faire passer pour un ami des hommes, du bien et de la vérité.
 
C’est un malade intelligent. Il faut  prendre en compte le fait que nous avons affaire ici à un cas morbide. D'ailleurs, il a peut-être des circonstances atténuantes.
 
Pour résumer, ce spectre des couloirs d'éditions a le cerveau surchauffé d’un gosse. A la différence près que l'enfant est vide et puéril. Lui est cultivé et poisseux.

Moi il me fait sourire et j’ai plaisir à dénoncer sa fate posture d'exégète à travers mes textes que je place sous les siens, de la même manière que l’on ferait apparaître un soleil en pleine nuit.

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samedi 6 avril 2013

985 - Savoir parler aux femmes

Je déteste les grosses vaches. Je suis un vrai prince qui garde sa dignité : uniquement attiré par les femelles minces, si possible aux énormes cervelles explosives.

Quant à ma généreuse crinière de lion cosmique aux crocs ruisselants de bave argentée, elle s’auréole automatiquement de lumière savanesque pour les plus fringantes autruches.

Je ne me prosterne pas aux pieds des femmes comme un minable gueux sans valeur, moi je suis un seigneur et ce sont elles qui viennent me supplier de leur foutre illico presto mon énorme plume d’auteur-conteur-interprète dans leur joli trou à oeufs !

Mes grosses poires à jus pleines d’écume gluante de vrai carnassier sophistiqué sont exclusivement réservées aux bichettes à taille fine, les autres, les éléphantes à la panse comme des saucisses allemandes, qu’elles passent leur chemin ! Aucune truie ne savourera ma longue merguez parfumée au piment d’Espelette, seules les belles petites belettes au corps svelte auront droit de recevoir ma paire de rognons étincelants dans leur adorable cruche de pondeuse.

Mon système intellectuel de taureau carbure aux femmes qui ressemblent à des fées, non aux coches engraissées d’ordures dans nos campagnes sans finesse. La pouliche des cités antiques grecques, tel est mon idéal de femme, c’est vraiment ça qui fait durcir comme le roc les muscles de mes côtelettes viriles jusqu’au fond de leurs culottes bordées de dentelles ! Les petites chamelles aux flancs délicieusement étroits me feront toujours plus d’effet que les lourdes cochonnes aux chairs gargantuesques dilatées par la redoutable graisse campagnarde !

Une génisse qui broute le tendre gazon de sa cambrousse m’inspire plus de respect que l’ample madame humaine qui se goinfre de fritaille trempant dans l’huile de colza. La ruminante quadrupède et cornue donne de la bouse merdeuse et c’est encore utile pour l’équilibre super rigolo de la nature, tandis que la dame beuglante aux bourrelets se gavant de patates molles en friture, elle ne donne que des soucis à son mari dépité qui la taxe de pute adipeuse.

Regardez donc mon impressionnante banane verte agrémentée de ses pesantes noix de coco remplies de bonne confiture visqueuse de nénuphar : c’est pas du lait de guimauve-à-chiottes ça !

Voilà le résultat glorieux, magnifique et sain de la vue de ces demoiselles bien faites qui ne bouffent pas des sandwichs bourrés de fromages américains pour ensuite enfler comme des vaches normandes !

Alors donc si une de ces gentilles poulettes à peau de miel et aux formes linéales que j’aime tant a envie que je lui enfile ma corne de gladiateur endurci bien à fond dans sa taverne à passagers clandestins, qu’elle n’hésite pas à me faire une demande, j’y répondrai certes avec une authentique fureur névralgique mais aussi avec grande capacité d’extrapolation, surtout si elle possède une paire d’outres aux arrondis séléniens pareilles à celles des mammifères.

Les sacs à patates, abstenez-vous de prendre contact avec moi.

mercredi 3 avril 2013

984 - Cahuzac : à cause d'eux

Objet des courroux populistes les plus mesquins pour avoir courageusement menti à propos de fortes sommes d’argent dissimulées aux regards du peuple vengeur et du droit oppresseur, Cahuzac se retrouve dans l’enfer de l’actualité.

Il a dissimulé une petite vérité sur une grosse affaire bancaire, oui et alors ? Pas de quoi en faire une montagne. Il n’a tué, agressé, blessé personne.

Les beaux menteurs fortunés ont toujours été les boucs-émissaires préférés des pleutres désargentés. Il n’y a que les coeurs étroits, les âmes étriquées qui réagissent avec virulence à cette mince affaire de dissimulation bancaire.

Mentir de la part d’un homme politique, que ce soit sur sa vie privée ou publique, cela n’a rien de choquant. C’est même la première des qualités. La politique c’est avant tout l’art de diriger, manipuler les masses, c'est aussi l’habileté à manier le langage ambigu, montrer les choses sous d’autres angles, c’est encore se montrer psychologue, voire machiavélique quand il le faut... On ne fait pas de bons politiciens avec de mauvais menteurs. Croire le contraire serait faire preuve d’une irresponsable naïveté.

Bref, je ne suis nullement scandalisé par son mensonge. On contraire cela me rassure sur ses compétences d’homme politique.

Cahuzac a voulu protéger son bien des médisances (voire de l’avidité) des justiciers du dimanche prompts à s’enflammer dès qu’il est question du fric des autres. C’est respectable. Il est en effet honorable de mentir, surtout effrontément, afin de préserver sa fortune des coups de gueule des caniches de la république assoiffés de justice en toc. C’est même personnellement et politiquement héroïque de sa part d’avoir pris un tel risque.

Pour cette raison j’admire Cahuzac.

Malheureusement je suis déçu qu’il fasse finalement preuve d’une telle faiblesse en demandant pardon au lieu de se battre comme un lion contre les moucherons de la France d’en bas.

Cahuzac ayant les moyens et exigences des personnages d’envergure -et n’ignorant pas, j’en suis persuadé, la bassesse des gens de peu-, il fut en droit de vouloir mettre en lieu sûr et à l’abri des malsaines curiosités ce qui lui appartient.

Je regrette que les aboiements des milliers de roquets à l’affût de leur proie aient finalement réussi à ébranler la belle statue politique.

C’est une défaîte pour l’esprit élitiste victime de la vindicte médiatique et de l’ire populaire. Une honte pour la France vengeresse s’attaquant à ses dirigeants pour de vulgaires histoires d’argent. Cette France des petits, des médias dévoyés, des politicards ouvriéristes, cette France ingrate offensée pour des broutilles, insensible aux grandes causes qui dépassent ses vues sordides.

VOIR LA VIDEO :

https://rutube.ru/video/d786ae0ffb023b7370bacc64b7fc6a2f/

Liste des textes

2148 - Je suis de la droite honteuse
2147 - Les écrivains sont des poids morts
2146 - L’héritage de Clinchamp
2145 - Clinchamp, une histoire sans fin
2144 - Vent de mystère à Clinchamp
2143 - Ma cachette à Clinchamp
2142 - Randonnée à Clinchamp
2141 - Eclipse de Lune à Clinchamp
2140 - Un arc-en-Ciel à Clinchamp
2139 - Clinchamp sous l’orage
2138 - J’ai rêvé de Clinchamp
2137 - Jour de l’An à Clinchamp
2136 - Vacances d’été à Clinchamp
2135 - Attente à Clinchamp
2134 - Un jour ordinaire à Clinchamp
2133 - Or de France
2132 - La compagne des esseulés
2131 - Loup de lumière
2130 - Spleen
2129 - Le pitre
2128 - Les corbeaux de Clinchamp
2127 - Un homme heureux à Clinchamp
2126 - Le mouton
2125 - Des lutins à Clinchamp ?
2124 - Je suis fort !
2123 - Paroles prophétiques
2122 - L’égalité entre les hommes est injuste !
2121 - L’idéaliste de gauche
2120 - La femme est la monture de l’homme
2119 - Clinchamp sous la neige
2118 - Le Nord et le Sud
2117 - Pourquoi j’aime Clinchamp ?
2116 - Convaincre Blandine
2115 - Un couple de vieillards à Clinchamp
2114 - Le facteur de Clinchamp
2113 - Tristesse et beauté à Clinchamp
2112 - L’Art
2111 - Botte à l’oeuf
2110 - Les bûcherons de Clinchamp
2109 - Le coucou de Clinchamp
2108 - BFMTV : l’écran de la vérité
2107 - Lettre anonyme
2106 - Je ne suis pas amoureux de Paris !
2105 - Un jour d’hiver à Warloy-Baillon
2104 - La femme soumise brille comme une casserole
2103 - Les chouettes de Clinchamp
2102 - Quand la tempête s’abat sur Clinchamp...
2101 - L’aile et la pierre
2100 - Mes amis les maudits
2099 - Le brouillard de Clinchamp
2098 - Artiste de gauche
2097 - L’éternité dans la tête
2096 - Toussaint à Clinchamp
2095 - Chagrin échappé
2094 - Clinchamp-sur-Mystère
2093 - Les cafards
2092 - Loup des airs
2091 - Le loup de Clinchamp
2090 - En latin, c’est plus beau !
2089 - Les patates de Clinchamp
2088 - L’enfant des airs
2087 - Ciel de France
2086 - Thaïs d’Escufon
2085 - Les tomates de Clinchamp
2084 - Jérôme Bourbon
2083 - Les chats de Clinchamp
2082 - Poupée d’ailleurs
2081 - Pierre de feu
2080 - Les champs de Clinchamp
2079 - L’éclosion
2078 - Vacuité des bouquinistes
2077 - Les toits
2076 - Freud
2075 - Sport
2074 - Le simplet de Clinchamp
2073 - Les oiseaux de Clinchamp
2072 - Je ne suis pas cartésien
2071 - Au cimetière de Clinchamp
2070 - Le Panthéon pour Hugo, l’évasion pour Izarra
2069 - Les rats de la France
2068 - Le curé de Clinchamp
2067 - Mon trou à Clinchamp
2066 - Saint-Léonard-des-Bois
2065 - Les cloches de Clinchamp
2064 - Un épouvantail à Clinchamp
2063 - Les rêves de Clinchamp
2062 - Je suis raciste
2061 - L’injustice sociale ne me choque pas
2060 - Les femmes de Clinchamp
2059 - Les jours vides de Clinchamp
2058 - Une grand-mère
2057 - Clinchamp vers 1970
2056 - La femme de soixante ans
2055 - Sale temps à Clinchamp
2054 - Un grand voyage en forêt
2053 - L’ailé et l’aliéné
2052 - Souvenirs lointains
2051 - Domestication d’une greluche
2050 - Déprime à Clinchamp
2049 - L’amour à Clinchamp
2048 - Les Droits de l'Homme, c'est la négation de l'homme !
2047 - Les hivers de Clinchamp
2046 - Les chemins de Clinchamp
2045 - Seul au monde
2044 - Ne me parlez pas d’amour
2043 - Tristesse de l’été
2042 - Jour de fête à Clinchamp
2041 - Monsieur Lecon
2040 - Châtelain
2039 - Les ailes de Clinchamp
2038 - Tremblement de terre
2037 - Nuit d’amour
2036 - Pluie de joie à Clinchamp
2035 - Les gauchistes
2034 - Clinchamp sous les clartés lunaires
2033 - Henri d’Anselme, héros hétéro rétro
2032 - Les hirondelles
2031 - Retraite dans la forêt
2030 - Mon bosquet
2029 - L’or de Clinchamp
2028 - Sur le chemin
2027 - La souche
2026 - Clinchamp, ce voyage sans fin
2025 - Sardines à l’huile
2024 - Les fantômes
2023 - Le silence de la forêt
2022 - Les arbres
2021 - Les joies de Clinchamp
2020 - La merde républicaine
2019 - Les ailés
2018 - Les soirées de Clinchamp
2017 - Parasite
2016 - Clinchamp, les routes de l’ennui
2015 - Moi français, je déteste les migrants !
2014 - Répugnante
2013 - Les complotistes
2012 - Je déteste les livres de philosophie !
2011 - Le bossu de Clinchamp
2010 - La lumière de Clinchamp
2009 - Les crépuscules de Clinchamp
2008 - Les nuits à Clinchamp
2007 - Les aubes de Clinchamp
2006 - Je suis un oiseau à Clinchamp
2005 - Les rats de Clinchamp
2004 - Les papillons de Clinchamp
2003 - Les richesses de la normalité
2002 - Le Rimbaud des bobos
2001 - Les vaches de Clinchamp
2000 - La folle de Clinchamp
1999 - Mon ego solaire
1998 - Vague Lune
1997 - Ma cabane à Clinchamp
1996 - Moi, IZARRA
1995 - Mais qui donc est Dardinel ?
1994 - La Dame Blanche de Clinchamp
1993 - Le Dalaï-Lama
1992 - Pluie à Clinchamp
1991 - Je suis sexiste
1990 - Les flammes du printemps
1989 - Le rustaud de Clinchamp
1988 - Les larmes d’Amsterdam
1987 - Clinchamp, terre d’envol
1986 - La Joconde de Clinchamp
1985 - Face cachée de Clinchamp
1984 - La clocharde de Clinchamp
1983 - Je suis un extraterrestre
1982 - Clinchamp sous les éclats de novembre
1981 - Clinchamp au bord des larmes
1980 - Les fantômes de Clinchamp
1979 - Les pissenlits de Clinchamp
1978 - Clinchamp : fin et commencement de tout
1977 - Amsterdam
1976 - J’habite sur la Lune
1975 - Secret de Lune
1974 - Les ailes de la Lune
1973 - Voir Clinchamp et sourire
1972 - La pierre et l’éther
1971 - Clinchamp, au bonheur des larmes
1970 - Clinchamp, mon dernier refuge
1969 - Croissant de Lune
1968 - Mais d’où vient donc la Lune ?
1967 - Lune lointaine
1966 - Lune éternelle
1965 - Sandrine, notre voisine
1964 - Rêve de Lune
1963 - Lune des rêves
1962 - La Lune dans le bleu
1961 - Lune ultime
1960 - Les tourmentés
1959 - Clinchamp, paradis des ombres
1958 - Lune absente
1957 - Je raffole des commérages !
1956 - Clinchamp : royaume des humbles
1955 - La Dame dans le ciel
1954 - Palmade : de la gloire au gouffre
1953 - Evasion
1952 - Tatouages, ces marques de faiblesse
1951 - L’égalité est un enfer !
1950 - Repas sur l’herbe à Clinchamp
1949 - Escale à Clinchamp
1948 - Beauté morbide de la Lune
1947 - J’ai dormi dehors à Clinchamp
1946 - Les humanitaires sont des parasites !
1945 - Sur les routes de Clinchamp
1944 - Une année à Clinchamp
1943 - Tristesse du printemps
1942 - Bulle de Terre
1941 - Jour de joie à Clinchamp
1940 - L’inconnu de Clinchamp
1939 - Le ciel de Clinchamp
1938 - Les éclats de Clinchamp
1937 - Le voyageur
1936 - Fête triste
1935 - Les antiracistes
1934 - Jean Messiha
1933 - Coeur gelé
1932 - Romantisme de pierre
1931 - La femme est sous mes pieds
1930 - Burcu Güneş, un air léger
1929 - Je déteste les pauvres !
1928 - Quand mon coeur s’allume
1927 - Intègre, entier, râpeux
1926 - Le cheval
1925 - Homme mauvais
1924 - Un trou sous le ciel
1923 - Hauteur de la Lune
1922 - Nulle part, là-bas, ailleurs
1921 - Belle Lune
1920 - Salades lunaires
1919 - Lettre à Reynouard
1918 - MARGUERITE OU L’HISTOIRE D’UNE VIEILLE FILLE
1917 - Récoltes lunaires
1916 - Je suis français de souche
1915 - Lune mortuaire
1914 - Clinchamp, cité des oubliés
1913 - Clinchamp, l’air de rien
1912 - Clinchamp, sommet du monde
1911 - La pollution, c’est la vie !
1910 - Seule au monde ?
1909 - Le Ciel et la Terre
1908 - Lune de haut vol
1907 - La Lune s’allume
1906 - Nuit sombre
1905 - Soupe de Lune
1904 - Puretés raciales
1903 - Lune-pizza
1902 - La grande question
1901 - Amiens
1900 - Pleur de Lune
1899 - Rêve d’amour
1898 - Vive le patriarcat !
1897 - La libellule
1896 - L’eau qui m’éclaire
1895 - Une question de clarté
1894 - La Lune dort
1893 - Les artifices du spirituel
1892 - Lune normale
1891 - Ni chauffage ni travail
1890 - Lune de fer
1889 - Molle Lune
1888 - Insensible aux malheurs des autres
1887 - Mon visage de vérité
1886 - Amante russe
1885 - J’écris
1884 - Lune martiale
1883 - Je suis un incapable
1882 - Lune creuse
1881 - 1975
1880 - L’éclat d’un fard
1879 - Amour impossible
1878 - Femme au foyer
1877 - L’esprit de la Lune
1876 - Ingérence féministe
1875 - Cratères lunaires
1874 - Lune d’effroi
1873 - Lune des chats
1872 - Les athées
1871 - Lune d’or
1870 - Lune carrée
1869 - Lune de miel
1868 - Folle lune
1867 - Jour de joie
1866 - SMARPHONES : abrutissement des masses
1865 - Sombre lune
1864 - Les mouches
1863 - Ma vie simple
1862 - Clinchamp, terre lointaine
1861 - Je suis un conservateur
1860 - Lune de glace
1859 - Le lac
1858 - Qu’est-ce que la beauté ?
1857 - Lune blanche
1856 - Lune de mer
1855 - Lune de feu
1854 - Présence immortelle
1853 - Surprenante Lune !
1852 - L’éclat de la Lune
1851 - Epis lunaires
1850 - L’autre Lune
1849 - L’amie des cheminées
1848 - Lune morte
1847 - Lune Parmentier
1846 - Lune fatale
1845 - Amour céleste
1844 - Grâces et disgrâces
1843 - Ma maison, c'est la Lune
1842 - Poids de la Lune
1841 - La morte visiteuse
1840 - Ma cabane sous la Lune
1839 - Bleu ciel
1838 - Histoire de lune
1837 - Suc de Turque
1836 - Stéphane Blet
1835 - Ciel bleu
1834 - Bonheur de rat
1833 - Redneck
1832 - Sur le rivage
1831 - Attraction lunaire
1830 - Je suis anti-féministe radical
1829 - Mais qui est-il ?
1828 - Je veux des frontières !
1827 - Les francs-maçons
1826 - Folies lunaires
1825 - Alunir, en un mot
1824 - “Comme ils disent”, chanson d’Aznavour
1823 - Lune tiède
1822 - Globe de rêve
1821 - Effroi
1820 - Vangelis
1819 - L’air de la Lune
1818 - La campagne
1817 - Lune tombale
1816 - Les cailloux
1815 - Je déteste Paris !
1814 - Boules de neige
1813 - Je n’ai pas peur
1812 - Parler vrai
1811 - Les hommes simples
1810 - Quand la Lune panse
1809 - Régine : extinction d’un feu
1808 - Morte veilleuse
1807 - Coeur de pierre
1806 - Noir
1805 - Mystère de la Lune
1804 - Jackson Pollock
1803 - En pleine lumière
1802 - Harmonie des sexes
1801 - Dix ans dans l’azur
1800 - Pluie d’avril
1799 - Le gueux
1798 - Les pommes de pin
1797 - Voyage vers la Lune
1796 - Mystère d’une nuit
1795 - Une lumière turque
1794 - Sans coeur et avec écorce
1793 - Envolé !
1792 - Galante ou l’abcès crevé
1791 - La lumière du Bosphore
1790 - Claude Monet
1789 - Rat aristocrate
1788 - Ukraine : sortez de vos ornières mentales !
1787 - Tranche de ciel et plumes de la Terre
1786 - Les sots écolos
1785 - L’astre turc
1784 - L’Ukraine, je m’en fous totalement !
1783 - Vive la guerre !
1782 - Réponses à un coatch
1781 - Droite pure
1780 - Vains hypersensibles
1779 - Mes valeurs vives
1778 - Le secret
1777 - Force et lumière
1776 - De l’herbe à l’aiguillon
1775 - Jusqu’à la mort
1774 - Zemmour et les journalistes de gauche
1773 - Dur et juste
1772 - La flamme et le marbre
1771 - Mon chat est mort
1770 - Les frères Bogdanoff
1769 - J’ai rêvé de Natacha
1768 - Technologie
1767 - Vers la Lune
1766 - C’était la guerre
1765 - La “tondue de Chartres”
1764 - Dans le métro
1763 - Naissance d’un virus
1762 - Zemmour est-il un de Gaulle ?
1761 - Je suis grand
1760 - Jour de gloire
1758 - Une muse du Bosphore
1758 - Je suis un extrémiste
1757 - Les éoliennes
1756 - Femme terminale
1755 - Autoportrait
1754 - Je suis un sanglier
1753 - Faux fou
1752 - Les affaires
1751 - Octobre
1750 - Le fantôme
1749 - Les écrivains
1748 - Sauvez la France !
1747 - Mes sentiments de pierre
1746 - Une araignée raconte
1745 - Un coeur clair
1744 - Phallocrate
1743 - Les vaches
1742 - Les faibles sont mauvais
1741 - Les sans-visage
1740 - Le trouillard de gauche
1739 - Léonard de Vinci enfant
1738 - Mes froideurs sublimes
1737 - Le romantisme, c’est la décadence
1736 - La Joconde
1735 - La tour Eiffel
1734 - Le Soleil
1733 - Une boule de mystère
1732 - Les masqués
1731 - Burcu Günes, l’or turc
1730 - Léa Désandre
1729 - Le père Dédé
1728 - “Blanc lumière” de Pollock
1727 - Les kikis et les cocos
1726 - Les funérailles de Belmondo
1725 - Pôle Sud
1724 - Vierge au mariage
1723 - La forêt
1722 - Le réveil des clochers
1721 - En septembre
1720 - Extraterrestre
1719 - Ni cagoule ni sérum
1718 - L’astre des morts
1717 - L’idéaliste
1716 - Un ange noir pour les Blancs ?
1715 - Trois heures du matin
1714 - Dur et vivant
1713 - Homme des bois
1712 - De flamme et de sang
1711 - Mes bas potentiels
1710 - Je suis un anti-progressiste
1709 - Eléonore et les Noirs
1708 - Eléonore et les Juifs
1707 - Une française
1706 - Femme d’idées
1705 - Joie de vivre
1704 - Auteur de rêves
1703 - Raison féminine
1702 - Vieillard
1701 - Face de France
1700 - 1789
1699 - Adieu, France
1698 - Célibataire
1697 - L’envers vert
1696 - Avant la chute
1695 - L’aube d’Ève
1694 - Amour raté
1693 - À vue d’homme
1692 - Le loup et l’agnelle
1691 - Têtes à corps
1690 - Trêve de la nuit
1689 - L’été
1688 - L’hiver
1687 - Les âmes de la forêt
1686 - Enfin libre !
1685 - Je vis sans masque
1684 - Enfants du monde
1328 - Je suis apolitique
115 - Le cygne
114 - Le spleen de Warloy-Baillon
113 - Les visiteurs
112 - La Lune
111 - L’amant des laides
110 - Mémoires d’un libertin
109 - Une existence de pompiste
108 - Lettre à mes amis des listes sur Internet